Le blog de APOTRE DE REVEIL L.G.PENIEL

Voici quatre domaines dans lesquels nous limitons YHWH.
3. LES REALITES DE NOTRE VIE .
Dans la vie de tous les jours, les réalités de notre vie l’influencent. Nous parlons en fonction de ce que nous avons, de notre âge, statut social, pourvoir d’achat, des expériences d’hier que nous avons vécues. Parfois nous limitons YHWH en fonction des réalités de notre vie.
L’ange de l’Éternel confie à Gédéon une mission qui allait changer sa vie et celle de sa famille.
11 L'ange du SEIGNEUR vient au village d'Ofra. Il s'assoit sous l'arbre sacré qui appartient à Yoach, du clan d'Abiézer. Gédéon, le fils de Yoach, est en train de battre le blé là où d'habitude on écrase le raisin. Ainsi les Madianites ne peuvent pas le voir. 12 L'ange du SEIGNEUR se montre à Gédéon et lui dit : « Le SEIGNEUR est avec toi, combattant courageux ! » 13 Gédéon répond : « Pardon, mon seigneur ! Si le SEIGNEUR est avec nous, pourquoi est-ce que nous sommes si malheureux ? Nos ancêtres nous ont raconté les actions extraordinaires que le SEIGNEUR a faites au moment de la sortie d'Égypte. Où sont donc ces actions ? Maintenant, le SEIGNEUR nous a abandonnés, il nous a livrés aux Madianites. » 14 Le SEIGNEUR se tourne vers Gédéon et lui dit : « Avec la force que tu as, va délivrer Israël des Madianites ! Oui, c'est moi qui t'envoie. » 15 Gédéon répond : « Seigneur, pardon ! Comment est-ce que je peux délivrer Israël ? Mon clan est le plus faible de la tribu de Manassé. Et moi, je suis le plus jeune de ma famille. » 16 Le SEIGNEUR lui répond : « Je serai avec toi, et tu battras les Madianites comme un seul homme. » 17 Gédéon dit au SEIGNEUR : « Si tu es bon pour moi, donne-moi un signe que c'est bien toi qui me parles. 18 Ne t'en va pas avant mon retour. J'ai une offrande pour toi et je veux te l'apporter. » Le SEIGNEUR répond : « Je vais rester jusqu'à ton retour (- JUGES 6: 11-18 )
Gédéon hésite à obéir à la mission que l’Éternel lui donne car il regarde à la réalité de sa vie : son âge, son clan et la famille de son père.
C’est le cas de l’infirme de la piscine de Béthesda. IL est à deux doigts de son miracle. Lorsque Jésus lui pose la question : ‘’ veux-tu être guéri ? ‘’V6 Sa réponse indique ce qu’il pense de la parole de la possibilité de ce miracle :
7 Le malade lui répond : « Seigneur, je n'ai personne pour me descendre dans la piscine quand l'eau se met en mouvement. Et pendant que j'essaie d'y aller, un autre descend avant moi. » (- JEAN 5: 6-7 )
Il veut simplement dire : j’ai déjà essayé plusieurs fois, ça ne marche pas. Les tentatives sans fruit paralysent sa foi et il ne croit plus au miracle.
LE COMMANDANT SEGOND DE CAMP DE GUILGAL
L'APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL