Le blog de APOTRE DE REVEIL L.G.PENIEL

“Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficacité. Élie était un homme de même nature que nous : il pria avec instance pour qu’il ne pleuve pas, et il ne tomba pas de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois.” (Jacques 5:16-17 SER)

Selon le passage ci haut indiqué, la prière du juste agit avec une puissante efficacité. En fait, une prière comme l’a ordonné le Seigneur est une façon de communiquer avec un être suprême. Sur ce, il est à notifier qu’il existe tant des formes de prières, faites dans différents contextes comme celui d’un chrétien, un musulman, un magicien, un marabout… chacun fait son message dialogue ou communication avec quelqu’un qu’il considère supérieur à soi-même.

Le juste selon les écritures est un être en qui Dieu trouve demeure et qui marche avec crainte et respect de la volonté d’El-Shaddai.

Cependant, pour nous, peuple juste au vu d’Elohim, nous connaissons que la prière est une communication avec le très haut, celui qui vit depuis les temps anciens et qui est assis sur le trône éternel.

Dans ce sens, prier n’est pas un don offert par Dieu mais une obligation car aujourd’hui tout le monde et tout être qui respire a besoin de communiquer avec son Dieu. Si aujourd’hui dans le monde les hommes dans différents pays parviennent à entretenir et échanger voir même donner des solutions à leurs problèmes ou affaires par la communication, combien plus forte raison ne sera-t-il pas possible qu’il ne s’établisse pas une liaison entre toute créature à son Créateur ?

“Élie, le Tichbite, l’un des habitants de Galaad, dit à Achab : l’Éternel est vivant, le Dieu d’Israël, devant qui je me tiens ! il n’y aura ces années–ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole. La parole de l’Éternel lui fut (adressée) en ces mots : Pars d’ici, dirige–toi vers l’est, et cache–toi près du torrent de Kerith qui est en face du Jourdain. Tu boiras (de l’eau) du torrent, et j’ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là. Il partit et agit selon la parole de l’Éternel, et alla s’établir près du torrent de Kerith qui est en face du Jourdain.

Les corbeaux lui apportaient du pain et de la viande le matin, et du pain et de la viande le soir, et il buvait (de l’eau) du torrent. Mais au bout d’un certain temps le torrent fut à sec, car il n’y avait pas eu de pluie dans le pays.” (1 Rois 17:1-7 SER)

El–Shaddai a besoin des justes pour faire sa volonté sur terre, des gens qui gardent sa parole, Elie lui-même était sûr de sa manière de marcher intègre devant El-Shaddai, il dit : Pas d’eau sinon à ma parole ! Cette parole trouva grâce et efficacité devant El-Shaddai. Un juste est agréé devant le maître suprême. C’est aussi le cas de Josué.

“Alors Josué parla à l’Éternel, le jour où l’Éternel livra les Amoréens aux Israélites, et il dit en présence d’Israël : Soleil, tiens–toi immobile sur Gabaon, Et toi, lune, sur la vallée d’Ayalôn.” (Josué 10:12 SER)

Il est de grâce aux enfants de Dieu de garder l’état de l’esprit juste et saint pour garder sa confiance. En Elohim nous avons le Shaddai en qui nous trouvons l’être et le mouvement. Nos adresses à El-Shaddai doivent être sur et certain car il rempli toute chose. On n’a pas à se déranger devant quoi que ce soit aussi longtemps qu’on habite ce corps.

Nous devons aussi mieux faire pour garder la communication avec notre source de vie. El-Shaddai qui nous garde et nous justifie. Si nous marchons dans la crainte et respect des recommandations d’El-Shaddai, nous ne pouvons pas accuser nos proches, surtout ceux qui nous haïssent ou qui nous font du mal au contraire nous devons louer Elohim et intercéder pour eux afin que la grâce et faveur du ciel leur soient accordées aussi comme à nous. C’est aussi là, le cas qu’a connu Daniel en son temps.

“(6–5) Alors les chefs et les satrapes cherchèrent un motif pour accuser Daniel en ce qui concernait les affaires du royaume. Mais ils ne purent trouver aucune occasion, ni aucune erreur, parce qu’il était fidèle, et qu’on ne trouvait chez lui ni négligence, ni erreur. (6–6) Alors ces hommes dirent : Nous ne trouverons aucun motif contre ce Daniel, à moins que nous n’en trouvions un dans la loi de son Dieu. (6–7) Puis ces chefs et ces satrapes se rendirent tumultueusement auprès du roi et lui parlèrent ainsi : Roi Darius, vis à jamais ! (6–8) Tous les chefs du royaume, les intendants, les satrapes, les conseillers et les gouverneurs sont d’avis que soit publié un édit royal, et que soit mise en vigueur cette interdiction : Quiconque, dans l’espace de trente jours, adressera des prières à quelque dieu ou à quelque homme, excepté à toi, ô roi, sera jeté dans la fosse aux lions. (6–9) Maintenant, ô roi, confirme l’interdiction et signe le décret, afin qu’il soit irrévocable, selon la loi des Mèdes et des Perses qui ne peut être abrogée. (6–10) Là–dessus, le roi Darius signa le décret et l’interdiction. (6–11) Lorsque Daniel sut que le décret était signé, il monta dans sa maison où les fenêtres de la chambre haute étaient ouvertes dans la direction de Jérusalem ; et trois fois par jour il se mettait à genoux, il priait et louait son Dieu, comme il le faisait auparavant. (6–12) Alors ces hommes entrèrent tumultueusement et trouvèrent Daniel qui suppliait et invoquait son Dieu.” (Daniel 6:4-11 SER)

Au onzième passage il est question de la maison de Daniel qui avant des fenêtres dirigées vers Jérusalem dans notre compréhension nous disons que Daniel gardait la communication de sa vie avec Jérusalem citée de Dieu c'est-à-dire, la communion et l’unité entre sa vie et son Dieu restait directes et nettes.

“Écoutez–moi, maison de Jacob, Et vous tous, reste de la maison d’Israël, Vous que j’ai pris à ma charge dès le sein maternel, Que j’ai portés dès votre naissance ! Jusqu’à votre vieillesse je serai le même, Jusqu’à votre âge avancé je vous soutiendrai ; Je l’ai fait et je veux encore porter, Soutenir et libérer. A qui me comparerez–vous Et me rendez–vous égal ? A qui me ferez–vous ressembler, Pour que nous soyons semblables ? Ils versent l’or de leur bourse Et pèsent l’argent à la balance ; Ils paient un orfèvre, Pour qu’il en fasse un dieu, Et ils font des révérences Et se prosternent. Ils le portent, Ils le soutiennent avec l’épaule, Ils le déposent là où il restera. Il ne bouge pas de sa place ! Même si l’on crie vers lui, Il ne répond pas, Il ne sauve pas de la détresse. Souvenez–vous de cela, Et soyez des hommes ! Rebelles, prenez la chose à cœur ! Souvenez–vous des premiers événements ; Car je suis Dieu, Et il n’y en a point d’autre, Je suis Dieu, Et rien n’est semblable à moi.” (Esaïe 46:3-9 SER)

Elohim notre sauveur s’attriste de voir l’homme l’image de sa personne adorer la créature  façonnée de main d’hommes et qui n’a pas la capacité de sauver ni de délivrer.

L'APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL