1- Croire malgré les réalités contraires
La confiance et la foi sont deux vérités inséparables. La confiance appelle la foi et vice et versa.
Dieu fait la promesse à un centenaire du nom d’Abraham qu’il lui donnera un enfant. Dans la logique humaine, pareille chose n’a jamais eu lieu. Face à la promesse, Abraham croit que c’est possible, Dieu va le faire :
« 19 La foi d’Abraham est restée solide, pourtant il avait à peu près 100 ans. Et il le savait : son corps était déjà comme mort et Sara ne pouvait pas avoir d’enfant. 20 Devant la promesse de Dieu, il n’a pas manqué de confiance. Au contraire, sa foi l’a rempli de force, et il a rendu gloire à Dieu. 21 Il était sûr d’une chose : ce que Dieu a promis, il est assez puissant pour le faire. 22 C’est pourquoi Dieu a reconnu Abraham comme juste. » (Rm 4.19-22)
Abraham sait qu’il est impossible que Dieu mente. Depuis le jour que la promesse est sortie de la bouche de Dieu, Abraham voit des fruits, il voit déjà un petit garçon jouant sur ces genoux et marchant dans sa cour.
Il ne se pose pas des questions habituelles à la nature humaine :
- est –ce possible;
- quand et comment.
Pour Abraham, ce que Dieu a dit, il a la puissance de le faire. Dieu est
au-dessus des lois de la nature et de la science. Ce qu’il promet, il le fait.
La promesse de Dieu est créatrice. Elle porte une puissance de vie pour appeler à l’existence notre bénédiction sans pour autant suivre des lois de la nature ou de la science.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL