20 septembre 2011
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(Matthieu 1:20-21 LSG) Il sied de savoir que, lorsque il
y a tâtonnement ou bégaiement, Elohim seul donne une issue, nous comprenons ici le cas de Marie, lorsque Joseph a constaté que Marie bégayait, il cherchait à se débarrasser d’elle en secret car
il ne comprenait pas en quoi marie sa fiancée était fourrée. Et du coté de Joseph, il fallait un ange en songe pour lui aider à décoder le message du bégaiement de Marie sa fiancée. Quand Joseph
a eu la révélation, il a eu la vie, parce que, lorsqu’on est révélé on freine si on allait dans le mauvais sens. “ Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur,
afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il
demeure avec vous, et il sera en vous. Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.” (Jean 14:16-18 LSG) Aujourd’hui, le bégaiement a pris
place même parmi les élus de Dieu, comme Samson, plusieurs se sont adonné à des pratiques irrégulières comme pour se faire des noms ou se donner une marque, non, pour ceux qui sont connecté à
leur sauveur, uni et rassemblée en lui, car dès lors il nous a dit que nous ne sommes pas orphelins mais il est avec nous éternellement si nous restons fidèles à sa parole. La joie d’Aaron était transformée
en une grâce vis-à-vis du peuple devant l’Adonaï, lui qui donnait la vie par son interprétation fidèle de la parole de Dieu. Le bégaiement ne doit toujours pas se faire entendre jusqu’à ce
jour car Aaron a déjà été envoyé pour interpréter. “ Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s’écria: Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et
qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture.” (Jean 7:37-38 LSG) Le Messie venue, parlait de
l’Esprit Saint pour que quiconque croirait, puisse avoir la vie en se désaltérant de sa parole qui est en soi l’écriture dont il fait mention. Cependant non seulement on vient se rassasier
auprès de lui mais aussi, devenir soi-même une source ou jaillirait des fleuves d’eau vive. Ce langage est un bégaiement que l’interprétation est une consolation. Le bégaiement de Moise ne parle que de la
divinité dans la chair de Ha Mahshyah, quand il a vécu sur terre, plusieurs l’ont vu et ne l’ont pas cru. Cependant, aujourd’hui nous avons eu le consolateur, le Saint Esprit par le canal des
sacrificateurs de cette nouvelle dispensation royale qui interprètent le bégaiement fidèlement selon le ainsi dit le Seigneur.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL