Quel a été la place de la femme dans ce sacerdoce là ?
N’oublions pas que le sacerdoce lévitique a été institué par El Shaddaï lui-même. Et il était clair. Voir Exode 28 : 1 et Lévitiques 8 : 1-6.
NB : Le sacrificateur avait des filles, mais elles n’ont pas été autorisées à exercer aucune fonction dans le sacerdoce. Mais seulement elles pouvaient manger les choses réservées à leur père. Faut-il aussi vous dire que ce n’était pas n’importe quelle fille qui pouvait manger les choses réservées à son père, car il y avait des conditions, voir Lévitiques 22 : 12-13, voir aussi versets 10 à 11 et 14-16 du même chapitre.
Très important : Nombres 18 : 1-7.
NB : Si les hommes de la tribu de Lévi en dehors d’Aaron et ses fils étaient considérés comme étrangers dans l’exercice du sacerdoce, à combien plus forte raison les filles ?
Comment Aaron et ses fils entraient dans l’exercice de leur fonction ?
Le chapitre 8 de Lévitique nous parle de la consécration d’Aaron et de ses fils. Lévitiques 8 : 1-10, 12, 13, 23-24.
Ici je vous conseille de lire attentivement tous ces versets.
Quelques étapes très importantes :
Exode 29 : 4 nous parle de lavage ;
Exode 29 : 7 nous parle de l’onction sur la tête d’Aaron ;
Exode 29 : 21 nous parle de l’onction de ses fils qui était différente à celle de leur père.
Enfin sur les animaux qui devaient être offerts.
Déteuronomes 18 : 3 nous parle des choses que les sacrificateurs devaient manger sur l’animal offert : « l’épaule, les mâchoires et l’estomac ». L’épaule ici c’est le fardeau de l’œuvre, les mâchoires c’est le verbe du sacrificateur, ce qui veut dire que le sacrificateur devait savoir parler, transmettre les mystères de Dieu à la congrégation, tandis que l’estomac c’est le dépôt de tout ce qu’on mange et cela qu’on fait le dispatching en d’autre terme, les sacrificateurs devaient maîtriser la doctrine.
Nous voulons conclure en ceci ; le sacerdoce Lévitique ou Aaronique était très organisé mais il était trop dur, c’est pourquoi il fallait qu’il soit changé. Malgré son organisation il n’était que l’ombre, car le peuple ne parvenait jamais à la perfection.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL