11 mars 2013
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L’utilisation de la dîme pour le soutien des responsables de l’Eglise est logique, biblique et pratique. A chaque fois que ce principe est respecté, il en résulte presque toujours une
prospérité financière ainsi qu’une prospérité spirituelle. Pourtant ce principe fait face à quelques oppositions. Nous allons prendre un peu de temps pour analyser quelques-unes de ces
objections:
Objection N° 1: « Tout ce que je possède appartient à Dieu. » Ce raisonnement paraît sensé, mais la personne qui parle de cette façon n’offre souvent même pas le dixième à Dieu. C’est
un peu comme un homme qui dit à son épouse: « Tout ce que j’ai, appartient à ma femme. » Mais en réalité, il ne lui donne ni argent pour l’entretien courant, ni argent personnel. Son épouse
pourrait bien lui poser la question suivante: « Si tout ce que tu as, m’appartient aussi, comment se fait-il que je n’en vois pas la couleur? »
Objection N° 2: « La dîme, c’est du légalisme de l’Ancien Testament. » Il y a deux réponses à cela. Premièrement, la pratique de la dîme n’a jamais commencé, ni ne s’est terminée,
avec la loi de Moïse. Deuxièmement, la dîme pour un chrétien, n’est pas le résultat d’une série de règles légalistes. Mais elle est la conséquence de la grâce de Dieu qui travaille dans son cœur,
et qui fait de lui quelqu’un qui « donne avec joie. »(Voir 2 Cor. 9:7).
Objection N° 3: « Je ne peux pas me permettre de donner la dîme. » Ma réponse à cela est: « Bien au contraire, tu ne peux pas te passer de donner la dîme! » A de nombreuses reprises
la parole de Dieu promet des bénédictions abondantes à ceux qui donnent avec fidélité à Dieu. « Donnez, et l’on vous donnera: on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui
déborde… » (Luc 6:38). « Apportez à la maison du trésor toute la dîme…et vous verrez si je ne déverse pas pour vous la bénédiction, au-delà de toute mesure. Pour vous je menacerai celui qui
dévore…et toutes les nations vous diront heureux… »(Mal. 3:10-12). Pourtant, Dieu demande toujours que nous fassions le premier pas par la foi, sans attendre que « nous puissions nous le
permettre », mais simplement en étant confiant dans les promesses de Dieu.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL