11 octobre 2011
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2° La
charité
Job soutenait les malheureux, invitait à sa table l'orphelin, et venait en aide à la veuve, comme témoignent ses paroles :
- Car je sauvais le pauvre qui implorait le secours, et l'orphelin qui manquait d'appui, Job 29:12.
- J'étais l'œil de l'aveugle et le pied du boiteux ; j'étais le père des misérables, j'examinais la cause de l'inconnu, Job 29:15-16.
- N'avais-je pas de larmes pour l'infortuné ? Mon cœur n'avait pas pitié de l'indigent ? Job 30:25.
- Moi qui ai dès ma jeunesse élevé l'orphelin comme un père, moi qui dès ma naissance ai soutenu la veuve, Job 31:18.
- Si l'étranger passait la nuit dehors, si je n'ouvrais pas ma porte au voyageur, dévoile Job 31:32.
La pratique de la charite permit à Job d'espérer le bonheur en retour, confirmation dans Job 29:18, 30:26.
3° La persévérance
Malgré les malheurs qui lui arrivèrent, Job persévéra dans la crainte du DIEU TOUT-PUISSANT, et il LE bénit en déclarant : L'ÉTERNEL a donné, et L'ÉTERNEL a ôté ; que LE
NOM DE L'ÉTERNEL soit béni ! En tout cela Job ne pécha point et n'attribua rien d'injuste à DIEU, comme le témoigne Job 1:21-22. Sa femme, qui ne pût comprendre sa foi,
lui conseilla de blasphémer lorsqu'elle constata que Job demeurait ferme dans son intégrité, relate Job 2:9, mais Job demeura fidèle au SEIGNEUR DIEU. Dans le malheur
l'enfant de Dieu doit garder confiance dans LE SEIGNEUR qui SEUL donne la victoire éternelle. À l'instar de Job qui, confronté aux épreuves de la foi, ne pécha point par ses lèvres, déclare
Job 2:10.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL