13 mars 2013
3
13
/03
/mars
/2013
09:44
Dans son essence, même la dîme, comme nous venons de l’exposer, est une question d’établir les bonnes priorités dans la façon de gérer nos biens financiers et matériels. Notre
première priorité est envers Dieu lui-même. Ceci est résumé dans Proverbes 3: 9-10:
Honore l’Eternel avec tes biens et avec les prémices de tout ton revenu: alors tes greniers seront abondamment remplis, et tes cuves regorgeront de vin nouveau.
Il y a deux mots clé dans ce passage: « honore » et « prémices. » Beaucoup de chrétiens ne se rendent pas compte que nous pouvons honorer Dieu avec nos dons. Et pourtant, c’est ce que
nous faisons quand nous mettons régulièrement de côté la portion de Dieu qui est la dîme. En priorité, avant de commencer à disposer de nos finances pour autre chose. De cette façon, nous donnons
à Dieu la place qui lui revient dans nos finances et nous posons aussi un fondement solide pour toutes les autres formes de dons, d’aumônes, de charité, etc.
Notre deuxième priorité est envers les serviteurs de Dieu, ceux qui conduisent le peuple de Dieu. De nouveau l’honneur est en jeu. (Voir 1 Tim. 5:17).Nous honorons les anciens qui
président bien, quand nous leur donnons leur dû. Depuis Abraham, et jusque dans le Nouveau Testament, comme nous l’avons déjà vu, ce dû est la dîme.
D’autant plus que c’est une sagesse financière que d’investir dans des ministères qui produisent d’autres ministères. Si nous faisons cela, l’œuvre de Dieu ne manquera pas de
serviteurs, contrairement à ce qui se passe souvent de nos jours. S’il y a assez de serviteurs efficaces et qui ne manquent de rien, le résultat sera le même que pour Israël dans l’Ancien
Testament. Les offrandes, en plus des dîmes, seront amplement suffisantes pour les besoins de constructions et d’équipement. Le peuple de Dieu se multipliera et il sera béni
financièrement.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL