Josué 18 : 1-6
Puisque Dieu a parlé, puisque tu es en alliance avec Dieu et que sa faveur est sur toi, lève-toi et possède le pays. C’est maintenant et pas demain.
Dans le livre de Genèse, Dieu dit à Abraham : tes descendants iront dans un pays étranger où ils seront asservis mais moi, je punirai la nation qui les aura asservis. Oui, les descendants d’Abraham s’étaient retrouvés esclaves pendant quatre cent ans en Egypte. Les Egyptiens ne savaient pas que ce peuple était un peuple de Dieu et qu’il avait un avenir. Dieu avaient ajouté qu’ils sortiront de là avec de grands biens. Mais les enfants d’Israël avaient du mal à croire à cela. Le problème, c’est que Dieu a parlé et cela avait suffi. Ce que tes ennemis devraient faire, c’est d’empêcher Dieu de parler. Puisqu’ils ne l’ont pas fait…
Pour sortir son peuple de l’Egypte, Dieu va susciter un homme, Moïse. A la suite de Moïse, le peuple marche dans le désert mais avec la promesse. A la mort de Moïse, Josué prend la relève et fait entrer le peuple dans le pays de la promesse. La bible dit que le pays était soumis devant eux. Ce pays qui leur était soumis, c’est un pays dont ils avaient entendu parler il y a longtemps, le pays où coulent le lait et le miel. Oui, il y a un temps pour entendre parler et il y a aussi un temps pour posséder. Job dit : « Mon oreille avait entendu parler de toi ; mais maintenant mon œil t’a vu ». Chaque fois que tu entends parler de quelque chose, Dieu est en train de te préparer. Ne sois pas jaloux du succès de l’autre, au contraire chaque fois que tu vois quelqu’un réussir, réjouis-toi puisque c’est un signe que ton succès est en chemin. Il y a un temps où tu entends parler de ceux qui voyagent, de ceux qui construisent, il y a aussi un temps où tu vas voyager, où tu vas construire. Pourquoi ? Parce que Dieu a parlé.
Le pays qui leur était soumis, c’était un pays dont ils avaient entendu les nouvelles rapportées par les douze espions envoyés pour l’explorer. Dix en ont donné un témoignage négatif : « Le pays que nous avons parcouru, pour l’explorer, est un pays qui dévore ses habitants ; tous ceux que nous y avons vu sont des hommes de haute taille ; et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles » (Nombres 13 : 32-33). Le problème est qu’il y a des gens qui sont allés avant toi dans le pays où ils ont vu des impossibilités et sont venus te dire : C’est impossible ! Ce qui est impossible à eux est possible à toi. Si eux ont échoué, toi, tu n’échoueras pas. Ne te laisse pas affecter par les paroles négatives. Deux de douze espions, Josué et Caleb, ont donné un témoignage positif : « Le pays que nous avons parcouru, pour l’explorer, est un pays très bon, excellent. Si l’Eternel nous est favorable, il nous mènera dans ce pays et il nous le donnera : c’est un pays où coulent le lait et le miel » (Nombres 14 : 7-8). Tu dois être de la race de Josué et Caleb, de la race de ceux qui confessent la possibilité. Pourquoi ? Parce que Dieu a parlé. Quelqu’un a dit : « Le monde, quand tu le regardes, dépend des lunettes que tu portes ». Tu dois voir la possibilité parce que Dieu a parlé.
Le pays qui leur était soumis, c’était un pays qui, pendant des années, avait connu de grands rois : le roi de Jéricho, le roi de Aï, le roi d’Hébron… Ceux-ci étaient loin de s’imaginer qu’ils régnaient sur la terre d’autrui. Il y a des gens qui règnent sur ce qui est à autrui, à toi. Mais toi, ne règne pas sur ce qui est à autrui parce que le juste juge est vivant et il finit toujours par rendre justice. Restitue ce qui est à autrui et Dieu te donnera ce qui est à toi.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL