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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 13:49

NTOMA16.10.1012Jean 2:9-10, l’ordonnateur du repas goûta l’eau qui avait été changée en vin. Il ne savait pas d’où venait ce vin, alors que les serviteurs le savaient, puisqu’ils avaient puisé l’eau. Aussitôt il fut appeler le marié est lui dit : « En général on sert d’abord le bon vin, et quand les gens son ivre on leur donne de l’ordinaire ». Mais toi, tu as réservé le bon jusqu'à maintenant.

L’ordonnateur du repas réagit à cause de la qualité du vin. Il démontre qu’il maîtrisait bien son travail à tel point qu’il fait venir le marié pour lui faire la remarque que nous qualifions de non fondée.

Le texte nous montre la source du vin. Le marié ignorait l’origine, mais un fruit du miracle réaliser par SEIGNEUR Notre JÉSUS-CHRIST.

Bien aimé, la Bible nous dit qu’il y a une fête des noces qui attende ceux qui sont sauvés en CHRIST. Apocalypse 19:7-9 « … apportons LUI notre hommage, voici bientôt les noces de L’AGNEAU. Sa fiancée s’est préparée… »
Il y a encore des recettes Divines qui nous attendent au ciel.
Veuillez prendre rendez-vous aujourd’hui.
Droit d’entrée : Accepter JÉSUS-CHRIST comme SAUVEUR et SEIGNEUR de sa vie.

1 Corinthiens 2:9-10 mais comme le dit l’écriture il s’agit de ce que l’œil n’a pas vu et que l’oreille n’a pas entendu, ce que l’esprit humain n’a jamais soupçonné mais que DIEU tient en réserve pour ce qui L’aiment.
Or, DIEU nous l’a révélé par Son ESPRIT ; L’ESPRIT, en effet, scrute tout, même les Pensées les plus intimes de DIEU.
1 Jean 3:3 « Tous ceux qui fondent sur LE CHRIST une telle espérance se rendent eux-mêmes purs, tout comme LE CHRIST EST PUR.
Que DIEU vous bénisse.

 

 

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 11:29

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La Bible nous renseigne que de nombreuses personnes ont été nourries par la providence Divine. Les unes et les autres ont réagi par rapport à la qualité de mets ou boissons comparativement à ce qu’ils ont toujours mangé et /ou bu. Il nous sera difficile de dresser une liste exhaustive. Citons à titre d’exemple, Elie qui a été nourri par la providence Divine par : APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

recettes Divines Le corbeau 1 Rois 17:4-6.
recettes Divines La veuve de Sarepta 1 Rois 17:8-15.
recettes Divines L’Ange 1 Rois 19:5-8.

Ici Elie demanda la mort à DIEU, mais L'ÉTERNEL lui donna a mangé. (Elie sollicite la mort auprès de L'ÉTERNEL alors que Jézabel cherchait à le tuer, il pouvait se rendre à Jézabel qui voulait au lieu de demander la mort à DIEU).

Pour revenir à notre sujet, Elie n’a laissé aucune impression par rapport à la qualité du repas lui servit par le corbeau et l’Ange. Dans cette catégorie citons aussi les deux groupes de personnes alimentés (les pains et les poissons) par LE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST LUI-MÊME.

Par contre il y a de gens qui ont été approvisionné par la providence Divine et qu’ont réagi par rapport à la qualité de mets et/ou boissons consommé.

Exode 16:31a, les Israélite donnait a cette nourriture le nom de manne ce qui signifie qu’est-ce que c’est ?
De toutes les recettes qu’ils avaient déjà prises en Egypte aucune ne ressemblait à la manne préparée dans la cuisine céleste.

 

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 09:36
NTOMA16.10.10-copie-1 Aujourd’hui, les ministres ont abandonnés leur vocation pour commencer à écrire de leur doigt. Ils ont cherché à revoir la vision de celui qui écrivit la loi sur les tables de pierres.
Retenons que : Un envoyé de Dieu ne peut pas faire envier les fidèles les merveilles de ce monde. Soit disant :
- Tu iras sillonner le monde …
- On diras de toi ceci cela,
-Vous allez être grands, etc.
La gloire et des fortunes sur terre sont foutaises car elles n’ont en aucun cas intéressé le Messie lorsqu’il était devant le prince de la terre.
Bien aimé ne suivons pas n’importe quel vent de doctrine mais suivons plutôt les instructions de la main d’Elohim.
Hébreux 8 : 10
Elohim en ce temps, il n’écrira plus sur les pierres mais sur les cœurs.
Dans la loi de Moise, le peuple n’avait pas une force de pratiquer la parole car celle-ci était une écriture sur les pierres loin de leur esprit et leur cœur. C’est pour cela, Yehoshwah entrant dans le monde, a eu une tache de transférer la loi qui était sur les pierres vers le cœur de l’homme.
Marc 12 : 28 – 31
Il a écrit sur le cœur disant, tu aimeras ton prochain comme toi-même. Ceci étant pris en synthèse de tous les commandements.
Hébreux 8 : 11 – 13
L’enseignement véritable logé dans le cœur d’un disciple c’est la connaissance du maître, suivi de la bénédiction par le doigt qui est écrit dans le cœur.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 09:46

NTOMA16.10.102-copie-1 

Ephésiens 4 :11 – 14,
la main proprement dite est l’œuvre de Dieu dans ce passage. La main est service de bénédiction, cependant en ce temps de sécheresse dans l’œuvre, il y a de ces églises dont les serviteurs n’ont pas la main.
Elohim instituant les ministères, il les a rendu semblable aux cinq doigts dont nous retrouvons :
Le pouce : Image de l’apôtre, car il est gras, et de taille à bien saisir un objet et donner à la main le sens d’être une main préhensible.
L’index : Symbole de prophète car il est le doigt de pointage et sert la main à mieux réprimer ceux qui nous causent des torts en les pointant.
La majeur : L’image de l’Evangéliste, lequel est appelé à voir loin et chercher à ramener les brebis perdues auprès de leur maître.
L’annulaire :Il représente le Pasteur qui est doté d’une compassion et bienveillance de façon à penser des blessures dans leur vie et les apprendre à supporter les dures recommandations et impositions données par les apôtres et les évangélistes.
L’auriculaire : Il symbolise le Docteur, le moins remarquable de tous mais doux du fait qu’il est Ministre enseignant et ouvrant la vue aux brebis.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 10:17

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2 Corinthiens 3 : 1 – 3
Bien aimés dans le Seigneur, le combat que nous menons chaque jour soit une lettre logée dans notre cœur pour être lue tous les humains. Elle n’est pas secrète ni confidentielle.
Ainsi comme une lettre écrite sur les tables de pierres et remise à Moise afin que ces écrits, du doigt d’Elohim lui – même, puissent donner vie, marche et vision excellente à ceux qui acceptent ces écrits.
C’est pour cela qu’un doigt qui écrivit était forcement l’un des cinq formant une main (symbole de cinq ministères).
Cependant dans l’ancienne alliance, la bénédiction était transmise par l’imposition d’une main. Par ici, la main d’Elohim a transmis la bénédiction. Comme la main bénit, le doigt également, alors comme le doigt bénit, une main sans doigt ne peut ni donner ni écrire. D’où sans la main il n’y a pas de bénédiction.
Ainsi 1 Rois 18 : 44, le dit : « A la septième fois, il dit: Voici un petit nuage qui s’élève de la mer, et qui est comme la paume de la main d’un homme. Élie dit: Monte, et dis à Achab: Attelle et descends, afin que la pluie ne t’arrête pas ».
Cela était symbole d’une bénédiction pour Israël en ce temps où la sécheresse.
Dès ce qui précède, nous avons compris que pendant un temps donné, le peuple d’Israël avait besoin d’une main, celle qui apparaîtra comme un nuage annonçant la pluie.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 09:52
Dans l'Ancien Testament, lorsqu'un criminel était mis à mort, la loi dictait que les premiers à exécuter la sentence devaient être ceux qui avaient témoigné contre lui. Quelle en était la raison? Si nous racontons des histoires sur quelqu'un et que cela entraîne des problèmes, nous devons assumer ce que nous avons affirmé; nous ne pouvons pas accuser quelqu'un et ensuite dire: "Ce n'est pas vraiment ce que je voulais dire".
De plus, d'après la loi de l'Ancien Testament, si un homme était coupable d'avoir porté un faux témoignage contre quelqu'un afin de le faire traduire en justice pour un crime particulier, le faux témoin lui-même recevait le châtiment du crime, c'est à dire la mort dans certains cas. Voilà qui ferait hésiter à porter un faux témoignage, non? Bien que les châtiments de Dieu aient changé un tant soit peu depuis les jours de l'Ancien Testament, sa haine du faux témoignage n'a pas changé.
Voilà donc les cinq conditions de base pour un jugement approprié: 1 - Cela doit être un juste jugement. 2 - Le jugement doit être basé sur des faits établis. 3 - L'accusé a le droit d'être confronté en personne à ceux qui l'accusent. 4 - Le jugement doit se faire sur la base d'au moins deux témoins fiables, trois de préférence. 5 - Les témoins doivent rendre compte de leur témoignage et si leur témoignage est faux, ils méritent le châtiment qui serait tombé sur l'accusé dans le cas contraire.
Assis dans le siège du juge.
Il y a une dernière question. Si nous jugeons alors que nous ne sommes pas autorisés à juger, que sommes-nous alors? Dans 1 Pierre 4:15, il est dit: "Que nul de vous ne souffre comme meurtrier, comme voleur, comme malfaiteur ou comme se mêlant des affaires d'autrui". Que faisons-nous tandis que nous jugeons alors que nous ne sommes pas autorisés à le faire? Si nous nous mêlons des affaires d'autrui, nous sommes assimilés au meurtre, au voleur et au malfaiteur. Le mot utilisé en grec désigne quelqu'un qui s'est établi responsable de choses qui ne le regardent pas. Nous ne devons pas agir en superviseurs de choses ne nous concernant pas.
Dans Jacques 4:11-12, nous trouvons un avertissement qui est la clé de notre attitude envers le jugement. Il ne nous est pas permis de dire du mal des autres - même si c'est vrai.
"Ne médisez pas les uns des autres, frères. Celui qui médit d'un frère ou qui juge son frère, médit de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n'en es pas l'observateur, mais le juge. Un seul est législateur et juge, celui qui peut sauver et perdre; mais toi, qui es-tu, qui juges le prochain?"
Si nous disons du mal de notre frère, nous faisons fi de la loi, car la loi nous interdit de le faire. Nous jugeons aussi la loi car nous nous plaçons au-dessus d'elle. En fait, nous nous faisons juge et nous nous plaçons au-dessus de Dieu.
Dans un tribunal séculier, tout tourne autour d'un siège: celui du juge. Quand le juge entre dans la pièce, tout le monde doit se lever, démontrant ainsi du respect pour sa position. Normalement, il y a une sorte de barrière devant lui dans la pièce, empêchant les gens de l'approcher directement.
Supposez maintenant que je suis assis dans un tribunal mais le juge n'est pas encore entré. Son siège est libre, la salle est silencieuse et solennelle. Soudain, je me lève, me fraye un chemin devant le garde et de façon présomptueuse, m'assieds dans le fauteuil du juge. C'est exactement ce que nous faisons lorsque nous jugeons des affaires que Dieu ne nous a pas données à juger. Nous n'oserions jamais faire une chose pareille dans un tribunal séculier. A combien plus forte raison devrions-nous craindre d'usurper le siège du tribunal de Dieu!
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 15:31

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Les domaines où nous n'avons pas à juger.
Je voudrais maintenant passer en revue quelques domaines dans lesquels nous ne sommes pas appelés à juger. Nous pourrions faire une liste sans fin, mais en voici quelques-uns.
1 - Nous ne sommes pas responsables de porter un jugement final sur le caractère d'une personne, pas même le nôtre. Comme nous l'avons déjà vu, c'est la responsabilité de Dieu seul.
2 - En tant qu'individus, nous ne sommes pas responsables de juger nos compagnons dans la foi. S'il nous sommes appelés à juger un autre croyant, ce sera alors collectivement, en tant qu'Eglise et non en tant qu'individus. A moins que sa conduite ne porte atteinte à ma conduite (et dans ce cas, il faut confronter la personne en privé d'abord), je n'ai pas à juger un autre croyant. C'est en dehors de ma juridiction.
3 - Nous ne sommes pas responsables de juger les enfants des autres. Bien qu'il soit tentant de le faire, les familles des autres ne sont pas sous notre juridiction, sauf si leur conduite nous porte atteinte personnellement. La plupart des personnes que j'ai vu juger les enfants des autres feraient mieux de corriger les leurs.
4 - Nous ne sommes pas responsables de juger d'autres groupes chrétiens. Au temps du Nouveau Testament, ce problème n'existait pas car il n'y avait pas d'autres groupes chrétiens, contrairement à la multitude de dénominations que nous avons aujourd'hui. Mais, à moins que de réels problèmes existent avec les membres d'une autre Eglise, notre responsabilité n'est pas de juger. Si nous sommes convaincus qu'un problème précis doit être solutionné, nous devons aller voir notre pasteur qui lui, ira alors voir le leur.
Cinq conditions pour un jugement approprié.
Lorsqu'il nous appartient effectivement de juger, comment devons-nous le faire? La plupart des jugements chrétiens que j'ai observés, transgressent les règles données dans les Ecritures. Je crois qu'il y a cinq conditions pour un jugement approprié:
1 - Jugez selon un juste jugement. Jésus dit cela dans Jean 7:24: ne soyez jamais injuste dans votre jugement, car vous aurez à rendre des comptes à Dieu pour chaque matière que vous jugez.
2 - Jugez sur la base de faits établis. Je suis frappé par le fait que lorsque le Seigneur dit à Abraham, en Genèse 18, qu’il était en chemin pour inspecter Sodome et Gomorrhe, il ne s'était pas contenté d'accepter les tristes comptes-rendus (provenant sans doute d'anges), sans aller voir lui-même la situation. Le Seigneur n'a pas voulu juger sans aller voir lui-même! Comment oserions-nous le faire si Dieu ne le fait pas?
3 - L'accusé doit avoir l'occasion de se confronter à ceux qui l'accusent. Dans Jean 7:51, les membres du Sanhédrin, le conseil juridique des Juifs, discutaient des mauvais rapports qu'on leur avait faits sur Jésus et exagéraient même les données. Nicodème, un honnête homme, s'exprima alors ainsi: "Notre loi juge-t-elle un homme avant qu'on l'ait entendu et qu'on sache ce qu'il a fait?". Il n'est pas scripturaire de juger quelqu'un avant de l'avoir laissé se défendre lui-même en personne.
4 - Il doit toujours y avoir au moins deux témoins fiables, pour tout méfait. Deutéronome 19:15 dit: "Un seul témoin ne suffira pas contre un homme pour constater une faute... ; un fait ne pourra s'établir que sur la déposition de deux ou de trois témoins". Nous ne devons jamais condamner quelqu'un sur le témoignage d'une seule personne. Le minimum est de deux, le témoignage de trois serait préférable.
5 - Les témoins ont à rendre compte de leur témoignage. Dans la Bible, le commandement contre le faux témoignage se trouve juste à côté de ceux contre le meurtre, le vol et l'adultère. Pourtant, je dois dire que des multitudes de chrétiens portent de faux témoignages contre leurs frères et sœurs dans la foi, sans le moindre sentiment de culpabilité. Dieu les met dans la même catégorie que les meurtriers, les adultères et les voleurs.

 

 

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 10:02

442 

Le jugement dans l'église.
Le domaine suivant est traité principalement dans le Nouveau Testament. C'est celui de l'Eglise - le Corps constitué des croyants. Premièrement, les dirigeants de l'Eglise sont tenus de juger ceux qu'ils dirigent. Il est clair, d'après le passage de l'épître aux Hébreux dont nous avons déjà fait mention, que dans l'Eglise, le fait de diriger doit s'accompagner de l'exercice de l'autorité et du maintien de la discipline. On pourrait dire qu'une église où les responsables ne font pas ces choses n'est pas une Eglise au sens scripturaire du terme.
Mais le jugement n'est pas la responsabilité unique de ceux qui gouvernent. En un sens, l'Eglise dans sa totalité est appelée à juger. Il nous faut tenir compte du fait que le mot grec pour "Eglise", ekklesia, signifiait normalement une "assemblée gouvernante". L'essence même de l'Eglise est de gouverner. Sans gouvernement, il n'y a pas d'Eglise et, en fin de compte - bien qu'une Eglise soit sous le jugement de ceux qui la dirigent - l'Eglise entière doit accepter sa responsabilité de juger. Il ne s'agit pas d'individus qui jugent. Dans la plupart des domaines où nous sommes responsables de juger, nous ne jugeons pas individuellement, nous jugeons collectivement. La plupart du temps, lorsque la Bible dit "jugez", il s'agit d'un pluriel, c'est à dire qu'il appartient à l'assemblée des croyants de juger.
Dans 1 Corinthiens au chapitre 5, nous découvrons ce que nous sommes appelés à juger: la conduite de nos compagnons de foi. Comprenez-vous que l'Eglise est dans l'obligation de juger votre conduite? Dans l'Eglise de Corinthe, un membre avait pris la femme de son père. Paul dit qu'un tel homme n'avait pas de place dans l'Eglise; il l'a jugé. Cependant, bien que le jugement de Paul ait été rendu en sa qualité d'apôtre, il dépendait de l'approbation de l'Eglise. C'est pourquoi il leur a écrit et leur a dit de prononcer un jugement sur cet homme lorsqu'ils se rassembleraient. Il s'agissait alors d'une action collective du Corps tout entier.
L'épître continue en déclarant que ce jugement par le Corps se traduirait par l'exclusion du coupable de la communion avec l'Eglise. Les fidèles ne devaient même pas manger avec un tel homme. Cependant, Paul avertit l'Eglise de ne pas porter un jugement semblable sur le monde qui est hors de l'Eglise.
"Qu'ai-je, en effet, à juger ceux du dehors? N'est-ce pas de ceux du dedans que vous êtes juges? Ceux du dehors, Dieu les jugera "(versets 12-13).
Paul dit que ce n'est pas à nous de juger le monde, mais que c'est bien à nous de juger nos frères et sœurs dans la foi, parce que nous sommes responsables d'eux, tout comme un père est responsable de sa famille.
Quelle autre question, à part la conduite, sommes-nous responsables de juger? Le deuxième domaine, que nous sommes responsables de juger, c'est celui des disputes entre croyants. Les Ecritures sont claires à ce sujet. Dans Matthieu chapitre 18, Jésus dit que si notre frère nous fait du tort, il nous faut en discuter avec lui en privé, mais, s'il refuse de rectifier la question, il nous faut aller devant l'Eglise.
Dans ce cas, l'Eglise doit juger de façon collective. Si le frère coupable refuse d'accepter le jugement de l'Eglise, l'Eglise doit alors le traiter comme un incroyant. C'est terrible de constater que celui qui ne veut pas accepter la décision de l'Eglise perd son droit d'être traité en tant que chrétien. Il est grave aussi de constater combien peu d'Eglises exercent vraiment l'autorité dont elles sont revêtues.
Dans quel autre domaine sommes-nous tenus de juger en tant qu'Eglise? Je dirais dans celui de l'erreur doctrinale. Dans Romains 16:17, nous lisons: "Je vous exhorte, frères, à prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales, contrairement à l'enseignement que vous avez reçu. Eloignez-vous d'eux". Si des personnes, dont la doctrine est fausse, soulèvent des questions de doctrine et deviennent une source de division dans l'Eglise, il nous faut alors prendre note de ces personnes et refuser d'être en communion avec elles. Une raison d'exercer le jugement est donc l'erreur doctrinale semant la division dans l'Eglise.

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 14:29

349  - 1 CORINTHIENS 11:28-32

Ici, Paul, parlant de la Sainte-Cène, nous avertit de nous examiner avant de la prendre. Si nous ne le faisons pas, nous nous exposons à la maladie et même à une mort précoce. Nous pouvons cependant prévenir le jugement de Dieu. Il ne nous jugera pas dans les domaines où nous nous sommes jugés nous-mêmes. Il y a trois alternatives: 1 - Nous juger nous-mêmes et ne pas alors venir sous le jugement de Dieu. 2 - Manquer de nous juger nous-mêmes et nous retrouver sous le jugement de Dieu - tout en échappant cependant au jugement de Dieu sur le monde. 3 - Refuser ces deux alternatives et être jugés avec les incroyants. D'une façon ou d'une autre, nous serons tous jugés.
Si nous sommes responsables de nous juger nous-mêmes, alors comment devons-nous le faire? Nous devons nous juger d'après les normes qui nous sont révélées dans la parole de Dieu. Nous n'avons pas à nous juger d'après nos sentiments, d'après les opinions de la société ni même d'après notre propre point de vue en ce qui nous concerne. Plutôt, il faut nous juger d'après l'enseignement clair de la parole de Dieu. D'après ces normes, nous sommes responsables de juger notre conduite et nos relations. Suis-je en paix avec mon frère ou ma sœur? Ai-je de l'amertume ou du ressentiment dans mon cœur? Ai-je dit des choses fausses ou peu charitables à propos d'un autre croyant? Voilà des façons dont nous avons à nous juger nous-mêmes. Et si nous prenons cette obligation de nous juger nous-mêmes au sérieux, alors nous passerons beaucoup moins de temps à juger ceux que nous ne sommes pas censés juger.
Le jugement dans la famille.
La prochaine sphère de jugement est celle de la famille. Celui qui est mari et père est responsable de "juger" sa femme et ses enfants. Dans 1 Timothée 3:4, Paul dit qu'une qualification nécessaire à l'ancien est "qu'il dirige bien sa propre maison". Parce que le père dirige sa maison, il se trouve dans l'obligation de la juger.
Qu'est-ce qu'un mari ou un père est tenu de juger? Dans la mesure où la conduite est le principal domaine à juger, je crois que ce qu'on attend du père, c'est qu'il juge toute conduite qui porte atteinte au bien-être de ceux dont il a la responsabilité. Si je vois mes enfants toujours abuser de boissons sucrées gazeuses et de glace, je suis alors dans l'obligation de les discipliner, parce qu'en tant que père il m'appartient de veiller à ce qu'ils grandissent en ayant une bonne santé.
Je suis aussi dans l'obligation de juger la conduite qui porte atteinte à l'honneur et à l'ordre de notre maison; je devrai en rendre compte à Dieu et à mon prochain. Si mes enfants sont grossiers et indisciplinés devant des étrangers, l'attention sera attirée sur mon rôle de père, prouvant que je n'accomplis pas ma fonction.

 

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

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29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 09:58

352-copie-1  

L'étendue de notre autorité à exercer le jugement.
Nous avons vu que lorsque nous avons une responsabilité, il nous faut avoir de l'autorité; et lorsque nous avons de l'autorité, nous sommes dans l'obligation de juger. Il nous reste cependant le problème de connaître l'étendue de notre autorité et celle de notre responsabilité à exercer le jugement.
Essentiellement, trois genres de limites caractérisent tout jugement. Il y a un domaine limité d'autorité, un nombre limité de personnes se trouvent sous cette autorité, et il y a seulement certaines actions que cette autorité est habilitée à juger. En dehors de ce champ particulier, soit avec d'autres personnes soit avec d'autres actions, il n'y a aucune autorité. Nous devons donc nous poser trois questions: dans quels domaines sommes-nous appelés à juger? Qui sommes-nous autorisés à juger? Et pour quelles actions pouvons-nous juger? L'étendue de notre autorité à juger n'est pas claire tant que nous n'avons pas répondu à ces trois questions.
Avant de discuter de l'étendue de notre autorité à juger, permettez-moi d'attirer votre attention sur ce que nous ne sommes jamais appelés à juger: nous ne sommes jamais responsables de l'évaluation finale du caractère ou de la conduite d'une personne, y compris de nous-mêmes. Certains chrétiens pensent qu'ils doivent estimer qui ira au ciel et qui va aller en enfer. Ce n'est vraiment pas du tout notre problème, il nous faut laisser cela entièrement à Dieu.
Pourquoi le Seigneur est-il le seul à pouvoir juger dans ce domaine? Parce que personne d'autre ne connaît tous les secrets et les motivations du cœur des hommes. Nous ne pouvons juger correctement ou équitablement, donc il ne nous est jamais demandé de juger ou de faire une évaluation finale de la valeur absolue d'une personne, pas même de la nôtre.
Cette question de ne pas juger du destin final d'une personne étant réglée, retournons à notre point concernant l'étendue de notre autorité à juger. Où, qui et quel domaine avons-nous la responsabilité de juger?
Nous juger nous-mêmes.
La première réponse à cette question est la suivante: Nous sommes responsables de nous juger nous-mêmes. Si nous ne sommes pas appelés à faire une évaluation finale, pas même de nous-mêmes, il nous faut pourtant juger notre conduite d'après les normes de la parole de Dieu. Il me semble que dans son essence, tout jugement que nous sommes tenus de porter doit être un jugement de la conduite et non l'évaluation absolue de la valeur d'une personne. Dans 1 Corinthiens, chapitre 11, nous lisons à propos de ce type de jugement sur nous-mêmes:
"Que chacun donc s'examine lui-même, et qu'il mange du pain et boive de la coupe; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup de malades et d'infirmes, et qu'un assez grand nombre sont décédés. Si donc nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais par ses jugements, le Seigneur nous corrige, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde" (versets 28-32).

 

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

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