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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 00:01
La vie est souvent ponctuée des difficultés, mais l’Eternel secourt toujours lorsque nous persévérons dans la prière et la foi.    1 Rois 18 : 41 – 46 .

Israël a connu un temps de sécheresse. Pendant 3 ans, il n’eut pas de pluies suite aux déclarations du prophète Elie. Cette situation occasionna le mécontentement du roi Achab. C’est le même prophète qui a coupé la tête des prophètes de baal. La descente du feu sur l’autel d’Elie a marqué la différence entre le Dieu d’Israël et baal. Rahab, la prostituée, a compris que le Dieu d’Israël sait créer la différence. C’est pourquoi elle n’a pas hésité à loger des espions dans sa maison. L’heure de la différence a sonné pour les enfants de Dieu. Elie invoquait, priait et intercédait pour que la pluie tombe de nouveau. Avant qu’une pluie tombe, le vent souffle, le ciel s’obscurcie et il y a présence des bruits pour annoncer la pluie. Les écritures nous renseignent que la pluie peut symboliser le Saint-Esprit (Deutéronome 11 : 14), le jugement de Dieu, la bénédiction (Psaumes 68 : 10). Dans 1 Rois 18, c’est le contexte de bénédiction qui est évoqué. « Jusqu’à ce que la pluie tombe » fait allusion à une persévérance jusqu’à palper les bénédictions. Ne craignos rien malgré la présence des tumultes dans la vie. C’est seulement des bruits qui annoncent la pluie. La bénédiction dans nos vies influence notre façon de servir et de louer Dieu. Elle est un stimulus pour nous pousser de l’avant. Les oppositions, le vent soufflé dans notre vie, nous font comprendre que c’est un langage de Dieu pour nous annoncer la venue imminente d’une bénédiction.

Genèse 25 nous montre que Rebecca a conçu après un moment de stérilité. Pendant la grossesse, elle sentit une bataille dans son ventre. Elle alla consulter Dieu. Et Dieu lui répondit que ce sont 2 peuples qui se battaient dans son ventre. Chaque enfant de Dieu doit être capable de discerner la sorte de vent qui souffle dans sa vie. Mais quand on vit, dans le désordre, le péché, etc. le bruit annoncé sera plutôt un avertissement de l’Eternel. La bible dit dans Ecclésiaste 3 : 1 qu’il y a un temps pour toute chose sur le soleil .Le temps est arrivé pour que le nom de l’Eternel soit glorifié dans nos vies. Le prophète Elie avait saisi la pensée de Dieu et se mit à prier jusqu’à ce qu’il vit le résultat. Pendant la prière, il envoya vérifier 7 fois s’il y avait un signe qui annonçait la pluie. Après plusieurs tentatives, il n’y avait toujours rien. Mais il persévérait dans la prière parce que Dieu avait parlé. A la septième reprise, le serviteur remarqua un petit nuage à la forme d’une paume de main. Et Elie envoya dire au roi Achab de descendre et de préparer son char afin de s’abriter contre la pluie qui s’annonçait. D’un coup, le ciel s’obscurcit comme le prophète l’avait déclaré. La pluie tombe pour que les pleurs se transforment en rire. Elle tombera de gré ou de force.

La persévérance manque à beaucoup d’enfants de Dieu lorsqu’ils sont confrontés à des difficultés. Si certaines personnes parviennent par des rites traditionnels à bloquer la pluie, la notre ne sera jamais bloquée parce que c’est le Dieu tout puissant qui l’avait déclaré.


L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 02:13

ZACHARIE 4:7 ; MARC11:20-24

En chacun de nous il y a une mesure de foi, et Dieu nous donne sa parole pour que nous ayons la possibilité d’affermir notre foi. C’est pourquoi Jésus nous recommande de faire attention à la manière dont nous écoutons…

Pour Jésus, si nous voulons parler et voir la montagne devant nous se déplacer, nous devons avoir la foi en Dieu. Avoir la foi, est le point de départ de miracles, c’est de là où nous devons partir pour déplacer les montagnes. Si nous examinons sincèrement nos vies, nous remarquons que ce qui nous manque, c’est la foi. Le premier exercice ou devoir que nous devons faire assez régulièrement, c’est de chercher à acquérir la foi. Lorsque nous regardons nos vies, les projets que nous avons pour l’avenir, nos rêves ou nos ambitions, nous constatons que certains acceptent simplement de renoncer à leurs rêves, d’autres à des ambitions parce qu’ils ne voient pas comment ils peuvent y arriver. Mais certains ne renoncent pas. Tout ce qu’ils envisagent, c’est comment atteindre leurs rêves ou accomplir leurs visions. Dieu ne nous demande pas de renoncer à nos rêves mais il nous demande d’acquérir la foi. Et il nous dit : c’est possible que les choses changent. Oui, c’est possible que ce que tu as comme vision, comme rêves devienne un fait de ton histoire. C’est possible, mais il faut acquérir la foi.

Il y a dans la bible deux passages qui nous montrent la source de la foi : (Romains 12 : 3) et (Romains 10 : 17). Dans ces deux textes, on est en train de nous montrer d’où peut venir la foi. D’après le premier texte, on n’a pas besoin d’avoir une très haute opinion de soi-même mais chacun doit avoir de sentiment modeste selon la mesure de la foi que Dieu a départie à chacun. La bonne nouvelle : en chacun de nous, il y a une mesure de foi. Lorsque les disciples demandaient à Jésus d’augmenter leur foi, il leur dit : si vous avez une foi assez petite comme une graine de sénevé, vous pouvez déjà faire beaucoup de choses. C’est dire que Dieu, dans son amour, n’a pas voulu que qui que ce soit puisse se dire : Seigneur, je n’ai pas de foi. Il nous a déjà donné un point de départ, à chacun de nous une mesure de foi. Ce que nous pouvons faire de cette foi, dépend de chacun de nous. Et nous ne sommes même pas conscients quand il nous a départie cette mesure de foi. Savez-vous que le Saint-Esprit travaille dans nos vies avant même que nous ne prenions conscience de la présence de Dieu ? Pour que nous soyons sauvés, il a fallu la foi. La bible dit : C’est par la foi que nous sommes sauvés. Le jour où tu as écouté la parole, entendu le message qui a été tout à fait particulier pour toi, tu t’es senti concerné et tu as donné ta vie au Seigneur. C’est déjà un acte de foi. Cette mesure là, pouvait déjà t’aider à aller loin. Parce que c’est cette mesure là, d’ailleurs pour laquelle tu n’étais pas conscient, qui t’a aidé à entrer au ciel. Comment ne peut-elle pas t’aider à remporter des victoires, à acquérir de grandes choses, parce qu’elle a fait ce que l’humain ne peut faire.

Dans notre deuxième texte, on nous dit : la foi vient ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu. C’est dire que sur la mesure que Dieu nous a donnée, au fur et à mesure que nous écoutons, nous pouvons augmenter, raffermir notre foi. Et c’est pourquoi Dieu nous a donné sa parole pour que nous ayons la possibilité d’affermir, d’accroître notre foi. Malheureusement, l’étude scientifique faite sur l’écoute nous démontre que nous oublions 95 % de ce que nous écoutons après soixante-douze heures. C’est ce qui fait malheureusement que nous n’essayons pas d’aller plus loin. Et c’est pourquoi lorsque Jésus parle de la foi, de l’accomplissement de la parole de Dieu, il dit : faites attention à la manière dont vous écoutez… Pour dire : essayez d’être plus attentifs, plus concentrés. Pourquoi ? Parce la parole est comme une semence et nous, nous sommes comme des terres. Et la même semence ensemencée dans ces différentes terres ne porte pas de fruits à cause de quelques raisons : les uns sont semblables au long du chemin, les autres à un sol pierreux, les autres encore à un sol épineux… Cela montre l’attitude de nos cœurs. La parole est là pour susciter notre foi afin que nous soyons en mesure d’accomplir toute chose. Jésus a dit : Tout est possible à celui qui croit. Ceci ne veut pas dire, comme nous pouvons le penser, que si nous avons la foi, nous pouvons accomplir toute chose. Il voulait dire tout simplement ceci : la puissance de Dieu étant tellement grande, si tu t’y connectes par ta foi, toute chose sera possible dans ta vie. La puissance de Dieu peut tout faire dans ta vie.

Pour répondre au conseil de Jésus qui nous exhorte à faire attention à la manière dont nous écoutons, quatre choses peuvent nous aider à cela :

Nous devons avoir la soif. Dans la bible, il est dit : « J’étais à mon poste, et je me tenais sur la tour ; je veillais, pour voir ce que l’Eternel me dirait... » (Habakuk 2 : 1) Il était conscient que s’il est dans cette position là, c’est pour une raison : il va être capable d’écouter ce que Dieu va dire. C’est dire que tout le monde n’arrive pas à saisir ce que Dieu dit. Pourquoi ? Parce que la plupart de temps nous n’avons pas soif de l’écouter. La bible dit : si vous avez soif et faim, vous serez rassasiés. Jésus a dit : « Heureux ceux qui ont soif et faim de la justice car ils seront rassasiés ». Si tu as soif de Dieu, Dieu te remplira, il te visitera au niveau de ta soif. Plus grande sera ta soif, plus haut sera le niveau où Dieu t’amènera. Dieu va à la rencontre de ceux qui ont soif. Zachée cherchait à voir Jésus, il avait soif ; et puisqu’il ne pouvait le voir à cause de sa petite taille, il est monté sur le sycomore. Comme la soif parle à l’Esprit de Dieu, Jésus ne pouvait pas passer. Jésus passait. La bible dit que lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et lui dit : Zachée, hâte-toi de descendre car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. Ce qui avait amené Jésus dans la maison de Zachée, ce n’était pas son argent mais sa soif. Dieu répond à notre soif. Si tu n’as pas soif, Dieu ne sait rien faire. La première chose que nous devons avoir, c’est la soif. Jésus, le dernier jour de la Pâque, dit : que celui qui a soif vienne ! David dit : Mon âme a soif de toi (Psaumes 63 : 1).
 

Nous devons traiter toutes les attitudes qui nous empêchent d’écouter Dieu :

- La dureté de notre cœur. La bible dit : « le cœur de l’homme est tortueux par-dessus tout, qui le connaît ? » Nous avons besoin d’exposer notre cœur à Dieu. C’est important car il y a toujours une résistance en nous.

- Tout ce qui préoccupe notre cœur. Car un cœur préoccupé ne sait pas écouter. C’est généralement les soucis, les soucis de la vie. Dieu ne donne jamais des instructions par hasard ; lorsqu’il nous dit de chercher premièrement le royaume de Dieu, c’est parce qu’il sait que les soucis de la vie nous empêchent de l’écouter.

Nous avons besoin d’une véritable repentance. Souvent il est difficile de parler aux chrétiens de la repentance. Et pourtant nous avons tous besoin de la repentance. Le cœur qui se repent est un cœur disposé à écouter Dieu.

Nous devons agir sur ce que nous entendons. La bible dit : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé » (Jean 15 : 7). Dieu veut que nous améliorions notre manière d’écouter. La parole de Dieu est spécifique. Pour chaque situation il y a une parole appropriée. Lorsque la femme qui souffrait de la perte de sang avait touché le pan de la robe de Jésus, ce ne sont pas ses jambes qui étaient guéries. Elle avait reçu la guérison qu’elle attendait. La bible dit : prête attention à mes paroles et suis mes conseils, elles seront pour toi un remède ou un médicament pour ton corps. La parole sera donc un médicament, et chaque médicament est spécifique. Pour une maladie donnée, il y a un médicament spécifique. C’est pourquoi la bible dit : « Qu’il te soit fait selon ta foi ». Ce que tu attends que Dieu fasse, lorsque tu écouteras la parole, elle agira dans le domaine pour lequel tu attends que Dieu agisse. Nous, nous sommes en train de nous attendre selon ce que nous avons comme préoccupations, comme problèmes, et Dieu nous parlera dans le domaine où je suis en train d’attendre qu’il puisse me parler. Mais il y a souvent un problème, c’est qu’un jour nous sentons que nous avons la foi et un autre jour, nous sentons qu’il n’y a plus de foi. Et ainsi en face de la réalité nous sommes sans force.

L’apôtre Pierre voulant rassurer ses interlocuteurs sur la venue de Jésus leur dit à peu près ceci : ce que nous vous disons n’est pas basé sur des légendes ni des fables, nous l’avons vu de nos propres yeux et nous l’avons entendu ; mais plus que ce que nous avons vu et entendu, il y a une parole plus certaine à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur parce qu’elle n’est pas sortie de la bouche d’un homme… (2 Pierre 1 : 16-19). L’apôtre Pierre voulait dire ceci : je peux mettre en doute ce que j’ai vu ou entendu mais non la parole de Dieu parce qu’elle est sûre, plus sûre que l’expérience personnelle, même quand tout est obscur, elle est la lumière. De fois, les situations qui arrivent dans la vie et les montagnes devant nous font que sommes comme dans l’obscurité. Ce qu’il nous faut en ce moment-là, c’est de nous accrocher à la parole que nous avons reçue de Dieu. Oui, quand tout est flou, rien ne va, garde dans ton cœur la parole que tu as reçue de Dieu car elle est pour toi comme une lampe dans cette obscurité. Même si tu ne sais pas comment cela va se passer, garde-la jusqu’à ce que le jour va se lever, car alors que les gens vont te donner raison.

Tu peux douter de tes rêves et de tes visions mais pas de la parole reçue de Dieu car elle s’accomplira certainement. Même si tout est noir, ce qui est écrit, c’est ce qui s’accomplira. Il n’y a aucune circonstance qui amènera Dieu à changer ce qu’il a dit sur toi.


L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 13:34
Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. Romains 14:5 
... Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché. Romains 14:23 


Sur la base de plusieurs choses, nous sommes poussés à poser des actions, à prendre des décisions ou à ne pas réagir face à une situation. Ces choses peuvent être la pression de notre entourage, les circonstances de la vie, un conseil ou des fois, une simple CONVICTION qui nous vient du cœur.

La conviction est la certitude que nous avons dans notre cœur par rapport à une vérité, un fait, une situation, une décision ou un choix etc…Elle doit normalement être la base de tout ce que nous faisons, car lorsque nous n’agissons pas par conviction, la Bible dit que nous péchons. Romains 14:23 

La conviction du cœur est un élément déterminant qui doit induire toutes les actions d’un enfant de Dieu. Nous ne devons jamais agir lorsque nous n’avons pas la pleine conviction de faire telle ou telle chose. Même le Saint Esprit, ne nous oblige à rien, il prend toujours la peine de convaincre notre esprit en ce qui concerne la volonté de DIEU.
C’est avec une pleine conviction que nous suivons JESUS CHRIST comme Seigneur et Sauveur, cela ne doit surtout pas être par suivisme, par notre intelligence ou par motif de religion, mais seulement par conviction.  
Dans la FOI, nous avons une grande partie de CONVICTION, car nous croyons qu’en ce qui nous a convaincu.
JESUS nous a convaincu du péché, c’est pour cela que nous nous efforçons de vivre dans la sanctification.  Sans la conviction du péché, nos efforts pour vivre la sanctification seront vains. Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement: Jean 16:8 

Le secret pour facilement discerner la VOLONTE DE DIEU est d’apprendre à patienter afin d’avoir la totale conviction du cœur en ce qui concerne un choix dans nos vies.
Plusieurs posent des actions pour plaire à autrui pendant qu’ils sentent en eux qu’ils n’ont pas pris le temps d’avoir une totale conviction du cœur afin de se rassurer que l’action ou la décision qu’ils veulent prendre vient de Dieu.

Un proche te pousse à faire quelque chose ; es-tu totalement convaincu de faire ce qu’il te demande ? Si NON, ne le fais pas, attends de recevoir la pleine conviction avant, dans le cas contraire expliques-lui que tu ne peux le faire.

Tous les hommes et les femmes qui ont été puissamment utilisés par Dieu, avaient compris ce principe venant de Dieu ; On les prenait des fois pour des fous, car pendant que la foule était poussée à faire cela, eux, étaient convaincus du contraire et agissaient selon leur conviction.

C’est par conviction que Dieu m’a poussé à poser des actions qu’on qualifierait d’insensés, mais par la suite Dieu m’a  montré à moi et à ceux qui ne me comprenaient pas que j’avais bien fait de poser ces actions.

La conviction ne se trouve pas dans la tête, mais dans le cœur, elle n’est pas logique et on a du mal des fois à comprendre pourquoi notre cœur la murit, surement parce qu’elle vient du Saint Esprit. Et celui qui n’agit pas par conviction, désobéit au Saint Esprit de Dieu, donc pèche.

Agit uniquement par conviction à partir d’aujourd’hui, et tu verras ce que tu verras de la part de Dieu !


SR. RITHA PENIEL
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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 13:15

Marc 11 : 20-24

En Dieu il y a une puissance illimitée, et cette puissance peu prendre les formes que nous allons lui donner. Et nous avons la responsabilité de nous connecter à cette puissance par la foi.

Jésus a vécu pendant trois ans avec ses disciples et a fait des miracles extraordinaires. Il leur disait des choses qui les dépassaient. Toutefois il utilisait les situations de la vie courante pour les enseigner. Ici, il avait faim et puisque le figuier n’avait rien à lui offrir, il le maudit en lui disant « que jamais personne ne mange de ton fruit ! », et ses disciples l’entendirent. Le lendemain, lorsqu’ils passèrent par là, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines. Les disciples de Jésus n’avaient sans doute pas pris au sérieux les paroles de Jésus. L’étonnement de Pierre devant le spectacle du figuier séché en dit long. Jésus va se servir de cet étonnement pour leur dire : « Ayez foi en Dieu. Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne : Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et si il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.»

Jésus ne parle pas juste pour parler mais il le dit avec tout le sérieux. La montagne est là devant et juste une parole et elle s’écroule. Comment cela est-il possible ? Il nous faut rentrer à l’origine. Jésus dit que tout ce qui existe, existe par la parole. La montagne existe par la parole et il faut juste une autre parole pour la déplacer. Jésus est en train d’apprendre à ses disciples une clé importante du royaume : rien de ce qui existe n’existe sans la parole. Il y a beaucoup de montagnes, de situations dans notre vie qui n’attendent qu’une parole de notre part pour disparaître mais nous croyons que cela dépend de Dieu et non de nous. Notre problème est que nous voyons les choses mais nous les comprenons autrement.

Ici, quand Jésus parle, nous nous demandons : comment cela va-t-il se faire ? Au lieu de voir la foi, nous voyons le fonctionnement, les mécanismes et le processus de la foi, et nous restons bloqués parce que cela dépasse notre intelligence. Mais deux exemples dans la bible vont nous aider à comprendre cela. Voyez cette femme qui avaient souffert de la perte de sang pendant douze ans et qui, par la foi toucha le vêtement de Jésus. La bible dit qu’au même instant la perte de sang s’arrêta. Le miracle s’était produit, elle était complètement guérie et son histoire changea (Marc 5 : 29-30). Un autre exemple est celui de ce père qui est venu auprès de Jésus avec son enfant lunatique depuis son jeune âge afin qu’il le guérisse (Marc 9 : 21-24). Jésus délivra cet enfant qui redevint normal. Dans le cas de la guérison de cette femme qui souffrait de la perte de sang, lorsqu’elle toucha Jésus, celui-ci reconnut en lui-même qu’une force était sortie de lui et dit : qui a touché mes vêtements ? C’est dire que la foi est l’unique moyen qui nous permet de nous connecter à cette puissance illimitée de Dieu afin que le miracle s’accomplisse dans notre vie.

Lorsque nous lisons la bible, nous constatons que Dieu tout puissant et que sa puissance est infinie, illimitée, éternelle. Il n’y a aucune situation qui soit au-dessus de la puissance de Dieu. Dans le cas de la femme qui souffrait de la perte de sang, une force est sortie de Jésus. C’est qui explique le miracle de sa guérison instantanée. Dans le second cas, ce père qui, après avoir été auprès de disciples qui n’ont pas pu délivrer son enfant, est allé voir Jésus pour lui dire « si tu peux quelque chose, viens à notre secours » comme pour lui dire : si tu as le pouvoir, aide-nous… Et Jésus lui dit : « Si tu peux… », comme pour lui dire que ce n’est pas une question de pouvoir mais de foi. Il lui dit ensuite : Tout est possible à celui qui croit. La bible dit : « Aussitôt le père de l’enfant s’écria : Je crois ! viens au secours de mon incrédulité ! » C’est alors que Jésus délivra l’enfant.

Lorsque nous prions ou demandons quelque chose à Dieu, ne nous concentrons pas sur le pouvoir. Dieu a tout le pouvoir. La bible dit : « Tout ce que l’Eternel veut, il le fait, dans les cieux et sur la terre, dans les mers et dans tous les abîmes » (Psaumes 135 : 6). Nous risquons de connaître le sort de ce serviteur du roi qui est demeuré au niveau des mécanismes de la foi en refusant de croire aux paroles du prophète Elisée qui avait : « Même si Dieu ouvrait les fenêtres au ciel, pareille chose ne peut pas se faire ». De même Marie devant la promesse de l’ange Gabriel s’était demandé : « Comment cela se fera-t-il puisque je suis vierge ? ». Nous avons tous des « comment » Attention ! nous pouvons croire dans un domaine et ne pas croire dans un autre. C’est le cas de Moïse qui fut autrefois agréable à Dieu grâce à sa foi et à qui la foi manqua dans le désert lorsqu’il était question de frapper le rocher pour donner de l’eau au peuple assoiffé. En Dieu il y a le pouvoir car il est la source inépuisable. Et il n’y a qu’un seul moyen de s’y connecter : la foi. Nous pouvons ne pas connaître la définition de la foi et ne pas connaître comment cela se passera, et bénéficier de la puissance de Dieu.

Quelques déclarations sur la place que Dieu accorde à la foi :

« Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que ceux qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11 : 6). Dieu n’agira pas dans notre vie juste par pitié, il nous faut la foi dans nos prières, dans notre marche, dans tout ce que nous faisons. Qu’il n’y est pas un seul jour où nous devons sortir ou nous présenter devant Dieu sans la foi.

2° « Et mon juste vivra par la foi… » (Hébreux 10 : 38). Ici, Dieu ne s’adresse pas aux païens mais à ceux qui sont justes devant lui. Ce sont ceux-là qui vivront par la foi. Ne t’occupe pas du comment car Dieu a les moyens. Si tu t’appelles juste de l’Eternel, ton style de vie a déjà été défini par Dieu : la foi. Souvent, nous voulons le miracle par la foi, nous finissons par la raison et nous sombrons comme Pierre après avoir marché sur les eaux.
 

Ceux qui veulent être bénis c’est-à-dire avoir la faveur de Dieu, doivent avoir la foi (Galates 3 : 7-9).

4° « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi des œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père » (Jean 14 : 12). Voilà un chèque en blanc qui est à notre disposition.

Peu importe l’instrument que Dieu va utiliser pour nous parler. C’est qu’il nous faut, c’est de nous dire « Dieu a parlé » et d’agir selon sa parole.
 

En Dieu il y a une puissance illimitée et cette puissance prend les formes que nous allons lui donner. Elle peut prendre la forme de la guérison, de la promotion, du mariage, de l’élévation… Il est de notre responsabilité de nous connecter à cette puissance par la foi.

Amen.


L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL

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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 00:33

Josué 14.6-13


Un homme d’une autre espèce

C’est un homme que tu as croisé ce matin en venant l’église ;

- Il a des mains ;

- Il a deux pieds;

- Il a deux yeux;

- Il a une tête;

- Et il a logement comme toi et moi,

- Il a vingt quatre heures dans la journée

Mais ce qui fait la différence, un homme d’une autre espèce est :

- Motivé à faire quelque chose malgré son âge et son sexe;

- Passionné par ce qu’elle fait;

- Il a la flamme malgré des difficultés sur sa route ;

- Il quitte le lot de commun mortel ;

- Il sort de la traduction et des sentiers battus;

- C’est un homme qui, avec peu de moyen, réalise de grandes choses et étonne son entourage.

Dans son discours de l’inauguration officielle de l’organisme Chantier d’Afrique, le Directeur Général, Jean Kasende a dit une parole qui m’a profondément touchée; j’allais crier amen :

La vie ne s’écrit pas au brouillon

N’écris pas ta vie au brouillon car tu n’auras pas le temps de transcrire au propre.

Chaque geste,

- pas,

- parole,

- mouvement,

- décision

Compte pour ta vie.

Ne néglige rien car tout compte, chaque jour compte, chaque heure compte, chaque rencontre compte.

I Un héro à découvrir

Caleb fils de Yéphounnné est ce personnage dont la Bible ne parle pas assez, pourtant un héro de foi. Le récit que nous venons de lire c’est son propre témoignage. Un homme de la tribu de Juda qui est sort du lot lors de l’exploration du pays de Canaan. Il faisait parti de 12 espions que Moise envoyait exploré le pays alors qu’Israël était à Qadesh-Barnéa.

De retour de la mission, Caleb et Josué sont les hommes de foi qui ont donné un rapport en toute bonne conscience comme il l’affirme lui-même au v7.

Nous sommes en présence d’un homme de quatre vingt cinq ans qui a une mémoire encore fraîche car il se souvient de petit détail de sa mission. Ce qui est intéressant, cette mission qui constitue un exploit important car le monde parle de lui comme un héro. Au lieu de tirer révérence, Caleb a encore a encore des projets.

Il y a quelques années dernières, j’ai rencontré l’Évangéliste TL Osborne dans cette ville. Un serviteur de Dieu qui a exercé un ministère d’impact dans le monde. Il était âgé de 80 ans quand j’ai rencontré. A mon grand étonnement, il avait encore une passion des âmes et son agenda était chargé par des projets à faire pour le Roi des rois.

II Le profil d’un homme d’une autre espèce

Caleb place devant nous un profil extraordinaire d’un homme d’une autre espèce. À la lumière de notre texte; énumérons six marques d’un homme d’une autre espèce. La semaine prochaine, je reviendrais sur ce thème pour parler de caractère d’un homme d’une autre espèce.

Examinons le profil de l’homme d’une autre espèce

1- La volonté de découvrir (v7)

Voici la toute motivation d’un homme qui sort du lot. Il est animé par un vibrant désir de quitter le statuquo et de faire un pas de plus dans un domaine quelconque de la vie. Le monde est tellement riche et varié au point que ce que nous connaissons et disposons est comme un millième de la tête d’une aiguille. Plus nous avons l’impression de découvrir et de posséder, plus nous sommes devant un nouveau défi. Un homme d’une autre espèce est constamment préoccupé par des stratégies pour lever un nouveau défi.

2- Prendre un risque (vv7. 12)

Cette deuxième marque d’un homme d’une autre espèce est intiment liée à la première. Caleb fait partie de douze hommes chargés d’une mission noble d’explorer le pays .Cette belle mission n’est pas sans risque car pendant quarante jours, l’équipe exposera sa vie en danger .Les grandes réussites, succès et bénédictions sont une affaire des hommes et des femmes qui savent prendre des risques de se jeter à l’eau , d’essayer , tenter ou entreprendre. Être un homme d’une autre espèce c’est avoir dans son cœur un nouveau projet et se mettre en marche. Rien ne tombera dans votre main sans que tu l’entreprennes. Tu es un entrepreneur des nouveau projet dans les affaires, dans les études , dans construction etc.

3- Faire face à la pression (v8)

Caleb sort du lot comme un homme capable de faire face à la pression et vaincre .La mission était périlleuse, au retour il se trouve face à la majorité qui tient un discours unanime : c’est beau le pays ou coule le lait et le miel .Mais il est habité par le peuple qui habite le pays est grand et fort. Nous y avons même vu des Anaqim, à nos yeux nous étions comme des sauterelles. Faire face à la pression c’est avoir la tête au dessus de l’eau. C’est être maître des émotions et des opinions que nous recevons. Ne suis les émotions mais laisse les te suivre! Ne sois un suivre des opinions mais soit un faiseur des opinions.

4- Avoir confiance en soi (v10.11)

Des hommes qui marquent le temps et font des exploits ne sont pas nécessairement super doués .Bien que le talent et l’intelligence ne sont pas à négliger mais Caleb fait preuve d’une arme de combat très important ; il s’agit de confiance en soit .Écoutez un homme de quatre vingt cinq ans parlé : je suis un vétéran, je connais le pays et des techniques de guerre. Je sais encore conduire des troupes, me battre et vaincre. Ce que tu penses de toi détermine ce que tu feras. L’opinion que tu as de toi suffit pour avancer ou pour reculer dans la vie.

5- Les yeux fixés vers l’avenir (v6)

Caleb se révèle à nous comme un homme d’ambition. Il est au poids de l’âge mais il ne baisse pas les yeux ou les bras. Il dit tant que mon cœur bat je peux encore faire d’autres choses afin de léguer à la génération future des fruits de ma sueur. Porter les yeux sur l’avenir revient à se poser ces questions si simples :

a)- qu’est –ce que ma vie sera demain, dans cinq ans, dans dix ans.

b)- ai-je donné le maximum dans ce que je fais .Autrement est ce que les résultats devant moi sont satisfaisants.

Si tu dis non, ce que tu es capable de rectifier le tire.

6- Se battre encore (v12)

Ce que j’apprends de cet homme de Dieu ce que la vie n’a pas de retraite:

(1) Après avoir survécu des risques d’exploration du pays promis,

(2) après avoir assisté avec impuissance à la mort de ses compagnons,

(3) après avoir survécu les intempéries du désert,

Caleb ne prend pas de retraite. Bien que vieillard, Caleb ne veut pas être un fardeau pour la société. Il se dit: «Je vais me battre encore jusqu’à ma mort

Conclusion

Tous les humains sont égaux face aux problèmes de la vie. Personne n’est né exceptionnel. La différence se trace à partir des principes directeurs de notre vie.

Être un homme d’une autre espèce est un défi sur ta vie. Tu peux mieux faire par rapport aux fruits actuels .Je t’invite à te lever et marcher sur les pas des héros comme Caleb.

Amen
L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL
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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 00:05
Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle? 2 Corinthiens 6:15 

Je ne sais pas si nous tous qui nous disons chrétiens, nous nous rendons compte que nous avons tissé une alliance avec Dieu au travers de JESUS CHRIST, et pas une alliance temporelle, mais une alliance pour la vie.
Cette alliance peut être comparée à un mariage entre un homme et une femme, et elle est basée sur des principes énumérés dans la parole de Dieu.
Christ est représenté par la BIBLE comme l’époux et nous l’église qui formons l’ensembles des saints, nous sommes l’épouse.
Et je vis descendre du ciel, d'auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux. Apocalypse 21:2.
Nous sommes l’épouse de Christ, dès le moment où nous avons accepté de marcher avec LUI.  

A des cérémonies de baptêmes d’eau, plusieurs parmi nous ont déclaré devant Dieu, les anges, les hommes, satan, et les démons, qu’ils renoncent à tout pour s’attacher à L’EPOUX (JESUS CHRIST). Peut-être d’autres le faisaient par tradition ou par religion, mais ce sont des engagements que Dieu considère, IL considère toute sorte d’engagement que nous prenons à preuve du contraire que nous nous en repentions.

DES INFIDELES…

Quel époux, aimerait que son épouse LUI soit infidèle ? Quelle épouse qui prétend  appartenir à l’époux se livre encore à Bélial qui n’est rien d’autre que l’ennemi numéro 1 et l'unique ennemi de l’époux.
Bélial signifie : indignité, méchanceté, impiété ; Bélial s'applique à Satan, qui personnifie tout ce qui existe de mal. "Homme ou fils de Bélial" est employée pour désigner des hommes pervers.

De nos jours, l’épouse de CHRIST se trouve dans des endroits où elle ne doit pas être, des cérémonies, des rutuels, etc... Elle fricote avec des personnes qu’il ne faut pas, les ennemis de son époux. L’épouse manque de foi, elle est devenue une pierre d’achoppement au lieu d’être la lumière de ce monde et le sel de la terre, qui sont ses véritables vocations. L’épouse n’est pas soumise à l’époux, elle vit selon sa perversion et ne se laisse pas façonner par les paroles de sagesse de l’époux.
Ce qui est paradoxale, c’est que l’épouse espère aux noces qu’elle aura avec l’époux, malgré qu’elle demeure dans l’infidélité, elle croit qu’elle sera enlevée le jour de la fin des temps pour les noces de l'Agneau.
Ne vous y trompez pas une seconde, ce que vous aurez semé vous le récolterez, aucune faveur pour les vierges folles, pas de pitié pour les infidèles; pour cela repentez-vous pendant qu'il est temps, L'EPOUX REVIENT BIENTÔT.

L’AMOUR DE L’EPOUSE

En parole, l’épouse manifeste beaucoup d’amour juste pour les apparences, mais en action, l’époux se sent mal aimé par son épouse qu’il aime de tout son cœur. Quoi de plus douloureux pour l’époux qui essaye par tous les moyens de sauver l’alliance qui le lie à l’épouse, car malgré l’infidélité de l’épouse, IL l’aime.

La patience de l’époux a une fin, veillons à ce que cette fin ne soit pas fatale pour nous !


L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL
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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 00:15
Deutéronome 16 : 1-16


Dieu a institué les fêtes, un de cinq piliers de l’alliance, pour que son peuple se souvienne de ses bienfaits, où qu’il soit et quoi qu’il lui arrive, afin que cela engendre la reconnaissance et celle-ci, la louange, l’adoration et la célébration. Souviens-toi et réjouis-toi, et Dieu accomplira davantage…

D’après le dictionnaire, la fête est synonyme de réjouissance. C’est dire que Dieu nous appelle à la réjouissance. Le peuple de l’alliance est un peuple qui ne se plaint ni ne murmure pas mais qui est appelé à se réjouir sur base des bienfaits de Dieu dans sa vie. Dieu appelle son peuple à se souvenir de ses bienfaits et à se réjouir. Des situations difficiles, des problèmes viendront mais souvenons-nous de bienfaits de Dieu et réjouissons-nous. Nous prenons beaucoup de temps pour nous plaindre, murmurer mais Dieu nous invite à la réjouissance ne fût-ce que pour ses bienfaits. Quelqu’un a dit : « Si tu remerciais Dieu pour toutes les joies qu’il te donne, il ne te resterait plus de temps pour te plaindre ». Nous avons toujours des raisons pour rendre grâces à Dieu et nous réjouir.

Il nous a ramassés de quelque part, nous a délivrés de la maladie, de l’ivrognerie, de l’impudicité, du mensonge, il nous a rendus responsables, utiles… Souviens-toi et réjouis-toi… Il y a quelque temps, tu étais informe, un homme sans valeur, chômeur, célibataire, malade, pauvre, misérable… Tu es venu à Christ, il t’a racheté, il t’a guéri, t’a donné la paix, le travail, le mariage, les enfants, il t’a donné une forme, de la valeur, il t’a été favorable… Souviens-toi qu’il y a quelque temps tu ne pouvais pas toucher un billet de cinq dollars et que tu étais identifié à la couleur de la seule chemise que tu possédais… Souviens-toi de ce qu’il a fait dans ta vie et réjouis-toi. Oui, Dieu est réel et bien vivant. Si hier, il s’est manifesté par un signe dans ta vie, demain il va s’illustrer par un deuxième, un troisième, un quatrième signe.

C’est lorsque nous nous souvenons de ses bienfaits que Dieu nous donne la capacité, des forces nouvelles pour relever de nouveaux défis qui peuvent se présenter dans notre vie. Devant Goliath, un guerrier aguerri, le jeune David s’est souvenu des exploits qu’il avait accomplis avec Dieu en brousse ; il s’est souvenu qu’il avait tué l’ours et le lion, et il s’est dit : avec ce même Dieu, je vais terrasser cet incirconcis. Il a pris courage, il s’est avancé et a terrassé le géant Philistin. Dieu a institué les fêtes pour amener son peuple à se souvenir de ses bienfaits et à se réjouir même dans les difficultés ou en temps de crise. Ainsi, il pouvait se dire : le même Dieu qui avait agi hier, est capable d’agir aujourd’hui.

Nous avons un abri sûr, un appui certain, un secours qui ne manque pas en temps de détresse. Ce Dieu qui avait agi hier dans notre vie est un Dieu capable, celui sur qui nous pouvons compter en toute circonstance. C’est ce qui nous différencie de païens. C’est pourquoi, chaque matin, fais l’inventaire non de ce que tu n’as pas mais de ce que tu as et loue ce Dieu-là, c’est alors que tu auras ce que tu n’as pas. Oui, ce que tu n’as pas viendra de la louange que tu as faite le matin. Continue à te souvenir de ses bienfaits, à lui rendre grâces, à le louer et à le célébrer. Car, en agissant ainsi, tu l’incites à faire davantage dans ta vie. Tu ne peux t’imaginer ce qu’il peut faire dans ta vie !

Il est un Dieu extraordinaire, le Dieu des extrêmes : dans le livre de Genèse il a donné un enfant à une femme qui avoisinait les cent ans et dans les premiers livres du Nouveau Testament, il a donné un enfant à une vierge. Dans quel camp te situes-tu ? Ta vie ne restera pas inchangée. Pour cela un secret : souviens-toi de bienfaits de l’Eternel et réjouis-toi. Chacun de nous a au moins un signe de la part de Dieu. Le premier de ces signes, c’est la vie. Comme tu as déjà un signe, un deuxième, un troisième, un quatrième viendra. Tu avanceras, ta vie changera. Ne pleure pas, ne murmure pas car Dieu est capable d’accomplir plus que ce qu’il a déjà fait dans ta vie. Des difficultés, des problèmes viendront mais toi, souviens-toi de bienfaits de Dieu dans ta vie et réjouis-toi. C’est pour cela que Dieu a institué les fêtes.


L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL

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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 15:52
Marc 4 : 22-24 ; Ephésiens 1 : 3 ; Proverbe 10 : 22 ; Deutéronome 30 : 19

La bénédiction est avant tout spirituelle. C’est la capacité qui nous permet de pouvoir manifester ce que Dieu a mis en nous. Oui, la bénédiction, c’est quand Dieu nous revêt de son onction, de la capacité et de l’habileté pour accomplir notre destinée. Pour la manifester dans notre vie, nous devons obéir à la parole de Dieu, développer ce que nous recevons à l’Eglise, grandir dans la foi, nous connecter à ceux qui ont déjà compris ce que c’est la bénédiction…

Pendant des années, nous avons eu une conception faussée de la bénédiction, une connaissance traditionnelle et religieuse même de ce que Dieu voulait par rapport à la bénédiction. Mais au fur et à mesure que nous grandissons dans la foi, nous devons comprendre la pensée de Dieu par rapport à la bénédiction. Il y a lieu de souligner, ici, la responsabilité que nous avons par rapport à la parole que nous recevons. Dieu a sa part et nous avons la nôtre. Dieu ne fera pas tout à notre place. C’est la raison pour laquelle lorsque nous prions, nous disons à Dieu : « Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Si nous ne permettons pas à Dieu de faire sa volonté sur terre, il ne la fera pas. Chacun de nous est responsable de ce qui se passe dans sa vie. Même le diable n’y est pour rien. Car la terre n’a pas été donnée au diable mais à l’homme, à Adam qui l’a livrée au diable. Le diable n’est pas responsable de ce qui se passe dans nos vies. Là où tu es dans ta vie, c’est la conséquence de tes choix. Même si tu n’as pas choisi directement, tu viens de la lignée des personnes qui ont fait des choix et tu en es victime. Mais il est possible que les choses changent si tu décides de faire un choix qui soit judicieux.

Nous devons apprendre à écouter la parole d’une manière nouvelle, d’une manière spirituelle à même de nous permettre de recevoir non pas ce qui est dit mais ce qui est derrière ce qui est dit. Ce qui importe pour nous, ce n’est pas ce qui est écrit dans la bible mais ce qui est derrière ce qui est écrit c’est-à-dire ce que nous révèle l’Esprit à travers ce qui est écrit, ce que Dieu veut que nous puissions saisir derrière ce qui est écrit. Si seulement ce qui est dans la bible suffisait, tout celui qui a la bible a tout. Dieu dit qu’il n’y aura pas de secret. Il n’agit pas parce que nous voulons qu’il agisse. Mais nous devons prendre garde à ce que nous entendons parce que nos oreilles constituent la porte de notre âme et c’est dans celle-ci que doit siéger notre bénédiction.

Avoir une voiture ou un mariage ne signifie pas être béni. La bénédiction a été mal définie. Souvent nous nous attachons aux effets de la bénédiction au lieu de nous attacher à la nature de la bénédiction. La bénédiction n’est pas naturelle, elle est d’abord spirituelle. C’est pourquoi il faut que notre façon d’entendre change par rapport à la nature parce que si nous n’avons pas compris la nature, les racines de ce qui apporte les fruits, nous allons avoir un arbre qui portent les fruits mais si les racines sont coupées, les fruits vont pourrir. Le jour où nous n’allons pas avoir les effets, nous allons penser que nous ne sommes pas bénis. Sache que tu es béni. Ce qui va faire la différence c’est comment tu vas prendre ce qui est en toi pour le manifester à l’extérieur. Nous devons prendre garde de la façon dont nous entendons et comprenons. Si notre entendement n’est pas celui qui est derrière ce qui est dit, nous ne saurons pas tirer la vraie bénédiction qui vient de Dieu. Beaucoup dans nos églises sont encore des bébés spirituels parce qu’ils n’ont pas renouvelé leur intelligence.

Il est donc important de comprendre ce que Dieu veut que nous puissions saisir dans sa pensée. Comment ? Jésus leur dit : « Prenez garde à ce que vous entendez » Pourquoi ? Parce que « on vous mesurera avec la mesure dont vous vous êtes servis » Ta mesure, ta façon de manifester la bénédiction ne dépend pas du diable ni de l’autre mais de la façon dont tu prêtes attention à ce que tu entends. Tu es seul responsable et non le diable ni les hommes. Si ta façon d’entendre est faussée, tu auras du mal à pouvoir prendre ce qui est à l’intérieur et à le manifester. Parce que la bible dit : « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ » (Ephésiens 1 : 3) La bible dit que nous sommes assis avec Christ dans les lieux célestes. Le problème est que nous agissons comme si nous étions d’en bas. Nous n’avons pas encore compris que nous sommes assis dans les lieux célestes. Quand nous le comprendrons, notre façon d’agir et de faire va changer. Nous n’avons pas besoin de croire aux circonstances mais en ce que Dieu a mis en nous.

La bible dit que le diable a aveuglé l’intelligence… Le secret se passe dans le renouvellement de l’intelligence. La version anglaise dit : « Prenez garde à ce que vous pensez ». La mesure de méditation et d’étude que nous donnons à la vérité que nous entendons sera la mesure des vérités et des connaissances qui nous vient. C’est dire que notre responsabilité ne s’arrête pas seulement à ce que nous entendons, parce que tout ce que nous entendons est une semence. Quand nous entendons quelque chose, automatiquement, spirituellement, d’une manière ou d’une autre, ce que nous entendons doit produire les fruits. Notre responsabilité quand nous recevons la parole, c‘est bien de dire « amen ! ». Mais il faut ajouter à cet « amen ! » une autre dimension : la méditation et l’étude. Si on nous dit « vous êtes bénis », il faut que nous ajoutions au fait que nous sommes bénis une étude : nous devons chercher dans la bible l’endroit où Dieu dit que nous sommes bénis, développer cela personnellement, et commencer à le méditer jour et nuit. La bible dit : « Ce livre de la loi ne s’éloignera pas de ta bouche ; tu y méditeras jour et nuit pour observer et mettre en pratique tout ce qui y est écrit, car c’est alors que tu mèneras à bien tes entreprises, c’est alors que tu réussiras » (Josué 1 : 8). Ainsi devant n’importe quelle situation tu sauras à quoi t’en tenir. Quand la maladie vient, tu dis : je suis guéri ! La méditation, c’est dire ce que Dieu a dit. Et Dieu dit : tu seras béni dans la ville, dans la cité, dans le champ, à la maison, au travail…

Il y a une différence entre entendre et écouter. Quand nous écoutons, notre attention est attirée, notre intelligence est captivée et nous agissons avec discernement ; notre mémoire donne aux sons une qualification, nous avons une compréhension claire de la chose. La dimension de la bénédiction qui se manifeste dans notre vie ne dépend pas des autres mais de nous. Dieu n’est pas un menteur pour nous dire que nous sommes bénis alors qu’il n’en est rien. La bible dit de Joseph qu’il fut vendu esclave puis prisonnier en Egypte, mais comme Dieu était avec lui, il prospérait. Ce n’est pas ce que nous avons qui nous fait prospérer, ce n’est pas notre travail qui nous bénit ni notre condition, mais Dieu qui est en nous. La mesure de notre bénédiction et de sa manifestation ne dépend pas du diable mais de la façon dont nous entendons, nous comprenons la parole de Dieu. Mais qu’est-ce que la bénédiction ?

La bénédiction ne signifie pas avoir une voiture, c’est le « sur » de Dieu sur notre naturel. La bible dit que c’est la bénédiction de l’Eternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d’aucun chagrin (Proverbe 10 : 22). Elle ne dit pas que la richesse fait de nous des hommes bénis. La richesse est une conséquence de la bénédiction. Si nous sommes bénis, nous serons automatiquement riches. La bible dit encore que la création attend avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Comme quoi, Dieu crée toutes choses avant pour qu’elles attendent la révélation des fils de Dieu. La bible dit aussi que tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Nous ne pouvons pas vivre pleinement ce que Dieu a mis en nous si nous demeurons toujours des bébés spirituels. La création attend. Le mariage, la voiture, le travail, toutes choses font partie de la création. Oui, la création t’attend, elle attend que tu deviennes fils. Au fur et à mesure que tu vas grandir dans la foi, les choses viendront une après une vers toi.

La bénédiction, c’est quand Dieu te revêt de son onction, de sa capacité et de l’habileté pour accomplir ce pourquoi il t’a créé. Voilà pourquoi l’homme ne pouvait rien commencer avant que Dieu ne lui dise : « Sois béni ».

La bénédiction tout comme le monde, est un système. Il y a une différence entre la terre et le monde. En grec, terre veut dire terra et le monde veut dire système. Le monde ne veut pas dire terre, c’est un système. C’est pourquoi la bible dit : vous êtes dans le monde mais vous n’êtes pas de ce monde. C’est-à-dire que bien que nous soyons dans le monde, nous ne vivons pas selon le système du monde. Chaque système a sa façon de penser, de fonctionner, tout comme le système de Dieu. Le système du monde fonctionne par la malédiction alors que le système de Dieu (le royaume des cieux) fonctionne avec la bénédiction. Tu peux vivre sur terre et fonctionner avec les deux systèmes. Mais il nous faut faire un choix. La bénédiction est là. Si nous ne remplissons pas la condition, elle ne se manifestera jamais. Nous sommes responsables, il nous appartient de faire le choix.

La bénédiction ne veut pas dire avoir une voiture, une maison, un mariage… Ceux-ci ne sont que des effets de la bénédiction. Quand on parle de la bénédiction, il est question de la nature, de la racine et non des fruits, de ce qui produit les effets, les fruits. C’est pourquoi nous devons bien écouter et bien comprendre car Dieu nous donne la mesure selon la capacité de l’étude et de la méditation que nous rajoutons à ce que nous recevons à l’Eglise. La bible dit : « C’est la bénédiction de l’Eternel qui enrichit et il ne la fait suivre d’aucun chagrin ». C’est dire que si tu as la bénédiction, elle amène automatiquement en toi une force spirituelle qui te conduit vers la richesse. Cette force t’oblige à devenir riche. Si tu es conscient d’avoir mal agi, un jour tu finiras par te dénoncer. De même, si tu deviens conscient que la bénédiction est dans ta vie, rien à faire, tu vas, toi-même, te dénoncer à la richesse. Que tu le veuilles ou pas, la richesse viendra. C’est pourquoi tu dois te focaliser sur la bénédiction et non sur les effets de la bénédiction.

La bénédiction est avant tout spirituelle. C’est un revêtement que Dieu met dans la vie de quelqu’un pour qu’il atteigne son but, sa destinée. A cause du péché, l’homme est devenu une personne naturelle, et pour que maintenant il accomplisse sa destinée, Dieu a mis le « sur » dans sa nature. C’est ce qu’on appelle le surnaturel et c’est en cela que réside la bénédiction. La bénédiction est une grâce spéciale ayant comme objectif d’amener dans ta vie la prospérité et le succès. Ceux-ci ne sont pas la bénédiction mais les fruits de la bénédiction. Quand on cherche le succès et la promotion sans la bénédiction, c’est le chagrin qui s’en suit, dit la bible. Quand la bénédiction de Dieu vient, elle t’enrichit et dans la suite, tu n’auras pas de chagrin. Si nous réalisons que nous sommes bénis, peu importe ce qui se passe, nous savons que les choses vont changer.

La bénédiction et la malédiction sont liées. Dieu dit : j’ai mis devant toi la bénédiction et la malédiction (Deutéronome 11 : 26). Le diable ne peut pas te maudire. Si tu es maudit, c’est que tu as fait le choix. Même si ce sont tes parents qui avaient fait le choix quand tu n’étais pas là, aujourd’hui, en Christ tu as la possibilité de choisir autre chose que la malédiction. La bénédiction et la malédiction viennent dans un même paquet et Dieu te dit de choisir la vie (Deutéronome 30 : 19). C’est donc toi qui dois faire le choix. Choisis la vie. Il faut que tu comprennes que tu es plus que ce que les autres ont dit par rapport à ce que Dieu a dit. Aucune arme forgée contre toi n’aura d’effet. Quand tu vas commencer à obéir à la parole de Dieu, tu brises la malédiction et tu entres dans la bénédiction. Tu commences à la développer. C’est une question de temps. C’est pourquoi tu dois venir à l’Eglise écouter les enseignements et renouveler ton intelligence pour grandir afin que la bénédiction qui est là se manifeste. La responsabilité de la dimension de ce que nous recevons nous échoit. Si nous ne développons pas ce que nous recevons à l’Eglise, si nous ne devenons pas partie intégrante avec la parole, rien ne va se manifester. Nous avons des choses plus que ce que nous cherchons. Oui, tu as tout ce qu’il faut pour vivre la dimension de Dieu. Le problème c’est que tu ne donnes pas du temps à Dieu par rapport à la parole.

La bible dit que la parole de Dieu est un couteau à double tranchant. Quand Dieu envoie sa parole, il y a la bénédiction et la malédiction. La malédiction vient parce que nous avons choisi de ne pas obéir à Dieu. Lorsque nous obéissons à la parole de Dieu, c’est la bénédiction qui s’en suit. Celle-ci est la capacité qui nous permet de pouvoir rentrer dans ce que Dieu a mis en nous. C’est toi qui détermines la dimension de ta vie. Ce sont tes choix, au jour le jour, qui déterminent là où tu vas aller. Là où tu es, c’est le résultat de tes choix. Tu es le seul responsable de ta situation et non les autres. C’est pourquoi nous devons obéir à la parole de Dieu. La bible dit que si nous obéissons à la voix de Dieu, Dieu nous donnera la supériorité sur toutes les nations de la terre et il rependra sur nous tout un cortège de bénédictions (Deutéronome 28 : 1-14).

Dieu savait qu’Abraham adorait les étoiles et il s’était dit : je vais changer ta vision ; aujourd’hui tu adores les idoles, demain tu seras père des nations. La bible dit qu’Abraham a simplement cru. C’est qu’il nous faut c’est de croire en dépit de tout. Car c’est une question de temps. Dieu dit à Abraham : quitte la maison de ton père, quitte ton pays et vas dans le pays que je te montrerai. Il ne lui a pas encore montré le pays en question mais il lui dit seulement : vas ! Il voulait qu’en Abraham toutes les familles de la terre soient bénies (Genèse 12 : 3). La bible dit : « Aussi l’Ecriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi, a d’avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham : toutes les nations seront bénies en toi » (Galates 3 : 8). Il l’appelle et lui enseigne tous ces principes, il lui montre comment concevoir la bénédiction. Il lui dit : sors de ton pays. C’est dire que tu ne peux pas commencer à manifester la bénédiction si tu es au milieu des personnes qui pensent de la même façon. Tu ne peux pas développer la bénédiction si tu es influencé par les gens quine peuvent pas t’amener à un niveau élevé. Tu ne peux pas manifester la bénédiction si tu n’es pas connecté aux gens qui ont déjà compris ce que c’est la bénédiction. Dieu veut montrer à Abraham comment manifester la bénédiction. Abraham est sorti. Toi, aussi, sors de là. Abraham est sorti et est allé en Egypte. Là, dans ce premier pays où arrive Abraham dès qu’il sort de son pays, le Pharaon lui donne des biens. Dans la bénédiction il y a la connexion. Si tu n’es pas connecté, il te sera difficile de manifester pleinement ce qui est en toi. Dieu a dit non seulement il bénira Abraham mais qu’il bénira aussi ceux qui le béniront c’est-à-dire ceux qui entreront en connexion avec lui. Ainsi, des années après, Pharaon avait bénéficié de ce que Pharaon avait donné à Abraham : Dieu envoya Joseph en Egypte en temps de crise pour sauver les Egyptiens de la famine. Quand Abraham sortit de l’Egypte avec sa femme et avec Lot, il était très riche en troupeau en argent et en or. Oui, puisque tu es béni, la richesse te suivra. Lot qui était avec Abraham avait aussi des brebis… Pourquoi ? Parce qu’il était en connexion avec Abraham.

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 00:19

Josué 14.6-13

Voici un texte que nous avons partagé dimanche dernier. Souvenez-vous que nous sommes en présence d’un extrait de mémoire d’un homme de 85 ans communément désigné comme un vieillard ; il déclare au v 10-11 :

<< 10 Effectivement, il y a quarante-cinq ans depuis que l'Éternel a adressé cette parole à Moïse pendant qu'Israël voyageait à travers le désert, et il m'a conservé en vie selon sa promesse. J'ai aujourd'hui quatre-vingt-cinq ans

11 et je suis aussi robuste qu'à l'époque où Moïse m'a envoyé en mission ; j'ai autant de force qu'alors, soit pour combattre, soit pour mener une expédition militaire. >>

Cette déclaration de Caleb disais-je est un défi sur la vie de chacun de nous. La vie est une suite de défi s: dans les études, dans les affaires, dans le ministère, dans le mariage, dans le sport etc. Ma prédication de la semaine dernière a dressé le profil d’un homme d’une autre espèce :

- Animé de la volonté de découvrir (v7);

- Prendre des risques (vv7.12);

- Faire face à la pression (v8);

- Avoir confiance en soi (vv10.11);

- Avoir les yeux fixés tournés vers l’avenir (v6);

- Se battre pour réussir (v12)



Nous avons terminé en affirmant que tous les hommes naissent avec la même chance pour réussir ou échouer. Ce qui fait la différence, ce sont les décisions prises par chacun de nous et les principes qui guident chacune de nos vies.

J’aborde le deuxième volet de mon message pour ressortir les caractères d’un homme d’une autre espèce.

II Le cadre historique

Le récit du livre de Josué relate l’histoire de conquête du pays promis. Ce livre met en lumière la fidélité de Dieu, malgré le temps, les circonstances négatives qui enveloppent notre vie de tous les jours, l’Éternel nous donne une nouvelle saison. Dieu se glorifiera et accomplira ses promesses à notre égard. Le récit commence par « après la mort de Moise mon serviteur ». Il y a toujours un après dans notre vie, 


- après la crise d’adolescence, il faut changer

 

 

- après la déception amoureuse, il ne faut pas porter indéfiniment le deuil;

- après l’accouchement difficile, rentrer au travail ou aux études

- après un échec à un cours , il faut reprendre.

Après la mort de Moise, la vie continue mais autrement. Dieu désigne un homme qu’il a préparé pour succéder à Moise. Il s’agit de Josué. Il faut une préparation pour aspirer à des grandes bénédictions.

Dieu lui dit, lève-toi, traverse le Jourdain que voici pour aller conquérir le pays que j’ai promis de donner à Abraham, Isaac, Jacob tes ancêtres. Lève –toi, signifie, ton deuil est fini. Arrête de continuer à pleurer, c’est passé, c’est derrière toi…..

Chacun de nous a des promesses, il ne faut pas vivre dans des illusions en croisant les bras et penser que les choses vont venir d’elles mêmes .Il faut commencer d’abord par se lever, ensuite combattre. C’est le principe que Caleb qui a grandi à la même école que Josué applique. Il dit Dieu m’a promis ce pays , il m’a conservé la vie , laissez-moi aller me battre pour entrer dans ma bénédiction.


III Le caractère d’un homme d’une autre espèce


À la lumière de récit devant nous, nous relevons cinq traits de caractère de Caleb


1- La loyauté


Caleb dit à Josué son compagnon d’arme :

« J'avais quarante ans, lorsque Moïse, serviteur de l'Éternel, m'a envoyé de Qadech-Barnéa pour explorer ce pays. À mon retour, je lui ai fait un rapport en toute bonne conscience. » (v7)

Caleb fait preuve d’une qualité essentielle à la vie chrétienne et dans la vie de tous les jours .Il s’agit de la loyauté.

Dans le mot loyauté, il y a :

- la fidélité, 

- la droiture, 

- l’honnêteté.

Caleb évoque les souvenirs de son parcours sous la direction de Moise. Il atteste: atteste que je l’ai servi avec un cœur droit et sincère .Je l’ai honoré malgré….Ce qui est frappant, ils sont revenus de la mission en copagnie de Josué .Celui-ci a été promu promis à un rang supérieur. Caleb se soumet à Moise et se met sous son autorité sans frustration dans le cœur.

Lors Lors que les autres compagnons de mission se rebellent contre Moise et soulèvent le peuple, il dit qu’il a donné un rapport avec une bonne conscience. C’est le même caractère qu’il témoigne à Josué son compagnon d’arme.


2- Un esprit combatif


Le lndemain «meilleur» est fait pour des hommes et des femmes comme Caleb

« Je suis aussi robuste qu'à l'époque où Moïse m'a envoyé en mission ; j'ai autant de force qu'alors, soit pour combattre, soit pour mener une expédition militaire. » (v11)

Ce témoignage révèle un homme qui ne baisse pas les bras. Le découragement n’a pas de place dans la vie d’un homme d’une autre espèce. Il s’endort en pleurant car la journée a été difficile, il a connu des déceptions mais il se réveille en souriant en disant qu’il prend autorité sur les déceptions d’hier.

Caleb n’a pas développé la culture de merci. Le chrétien sert de modèle en donnant au maximum pour tout ce qu’il entreprend et donner le meilleur pour produire des fruits de qualité.

3- Un homme constant

Écoutez ce que dit cet homme de 85 ans

4- 10 Effectivement, il y a quarante-cinq ans depuis que l'Éternel a adressé cette parole à Moïse pendant qu'Israël voyageait à travers le désert, et il m'a conservé en vie selon sa promesse. J'ai aujourd'hui quatre-vingt-cinq ans

5- 11 et je suis aussi robuste qu'à l'époque où Moïse m'a envoyé en mission ; j'ai autant de force qu'alors, soit pour combattre, soit pour mener une expédition militaire

Deux grandes vérités frappent notre attention :

- Il avait une vie active, engagé dans l’armée;

- Quarante ans plus tard, il a encore la flamme comme au premier jour.

Cela s’appelle la constance :

- C’est être persévérant dans l’action;

- C’est la qualité de ce qui dure;

- C’est la qualité de ce qui est stable;

- C’est la qualité de celui (celle) qui ne se laisse pas abattre



Un chrétien est un homme stable dans son emploi, stable dans le mariage, stable dans la vie spirituelle. Il commence quelque chose, il l’achève malgré les difficultés et les obstacles.

Cette dernière qualité de Caleb nous interpelle selon le thème de l’année 2008. Rallume la flamme et garde la flamme.

Conclusion

Être un homme d’une autre espèce est un choix. Tu peux passer d’un homme ordinaire à un homme d’une autre espèce. Je termine en vous invitant à être des hommes et des femmes constants dans la vie spirituelle, professionnelle, sociale et familiale.

Nous avons connu un hiver assez particulier, neuf tempêtes, et plus de 4 m de neige ça n’arrive pas toujours. Malgré cette saison hivernale difficile, nous avons gardé le moral sachant que le printemps est déjà arrivé.

Je vous invite à être des hommes et des femmes constants dans la vie. Ce que vous avez commencé, amenez-le à bien jusqu’au bout. Les barrières, les obstacles, ce qui vous manque et la pression que vous vivez sont les meilleurs pédagogues pour votre vie d’homme d’affaire, étudiant, de professionnel, Ministre de Dieu, de femme seule (monoparentale) ou chef de famille. Loue Dieu. Lève toi et agis encore.


Amen

 

 

L'APOTRE DE REVEIL L.G. PENIEL

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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 23:16
L’histoire d’Agar est une des histoires de la Bible comprise seulement en partie dans le milieu évangélique. Généralement, les lecteurs de l’Ancien Testament se limitent aux seuls aspects    de l’impatience  de Sara, de l’infidélité d’Abraham d’une part  et     de la rébellion et de l’insolence d’Agar d’autre part. (Gen 16, 1-5).  Ceux du Nouveau Testament utilisent l’histoire d’Agar uniquement comme une allégorie où Agar et Ismaël représentent  les Juifs et leur tentative de garder la loi; Sara et Isaac représentant la promesse de Dieu reçue par la foi (Ga.4,24).

Certains même trouvent cette histoire pas très édifiante car les traits sont  au contraire propres à troubler  les croyants dans leur culte pour le patriarche.

Mais cette histoire examinée dans son intégralité, nous fait découvrir bien plus d’autres dimensions que celles  énumérées ci-haut. 

 

 Voici en quelques lignes le contexte dans lequel se déroule cette histoire.

 La promesse de Dieu pour avoir un enfant  tardant  à s’accomplir, Sara  devance le processus de l’accomplissement de la promesse  de Dieu et propose à Abraham de prendre comme épouse, Agar, la servante, afin de lui donner  un enfant. Sara  pense ``aider Dieu``  dans la réalisation de la promesse mais il faut aussi remarquer qu’Abraham a la faiblesse de s’approprier cette idée.

Erreur!  Car  par  ce geste, Sara  ouvre la porte  à la rivalité et  à  tant d’autres  méfaits de la polygamie dans la tente  d’Abraham.

Le climat  devient  malsain et  la tension monte jour après jour.  La  vie devient intenable et Sara chasse Agar.

Celle-ci , démunie de toute ressource ,   s’en va loin de  toute possibilité d’intervention humaine  pour affronter, seule d’abord et ensuite avec son fils, les  périls  du désert.

Le désert qui devrait être la fin d’un rêve se transforme en lieu de consolation et de révélation.

C’est dans le désert en effet  que Dieu ENTEND  le cri d’Agar et  VOIT  sa misère. Il    lui parle affectueusement   et lui DONNE  une grande  promesse  semblable à celle qu’Il a fait  à Abraham dans  Gen. 16 :10, à savoir : < je multiplierai beaucoup ta descendance  et on ne pourra pas la compter …>

  Qui est Agar ?

 Agar, dont le nom signifie  la fugitive, l’émigrée, faisait partie probablement des esclaves que le couple Abraham – Sara  avait ramené  d’Egypte (Gen. 12,20)

Elle est cette  étrangère et esclave particulière qui  s’est  sûrement distinguée  des autres  par sa façon de travailler, son dévouement  ,  pour  être choisie à  porter  le premier né de son  Maître. Elle paraît  avoir été fidèle, plus attachée à Sara que d’autres esclaves, sinon la suite du récit ne se comprendrait pas.

Mais cette ascension  phénoménale va apporter son lot de problèmes : d’un côté, l’arrogance et l’insolence  d’Agar et de l’autre, l’indignation et la vengeance de Sara  qui n’accepte pas le mépris, l’outrage, l’affront  de celle qu’elle a considéré jusqu’ici comme son inférieure.  Blessée dans son égo, Sara  décide de la molester, de l’humilier à son gré, ne  lui laissant  qu’une seule  issue, la fuite.

Agar     est obligée de tout abandonner malgré elle. Elle  quitte  ``l’oasis bénie `` et s’enfuie loin de tous, désespérée.  Elle voit tout s’écrouler devant elle. C’est la fin d’un rêve ! Elle    s'en va  vers le désert, ce plateau aride, lieu vide, lugubre et   sans vie.

Elle y va sans espoir mais en revient avec une trouvaille, une grande promesse de Dieu.

 

  Désert, lieu béni

Le dictionnaire Le Petit Larousse[1]1 définit le désert comme une région  très marquée par l’absence de végétation ou  la pauvreté des sols et la rareté du peuplement. Dans la vie courante lorsqu’on parle du désert, c’est souvent dans le sens négatif  du terme.

Mais en parcourant la Bible, on peut relever  à propos  de ce mot des significations variées dont voici quelques unes :

-          lieu de refuge, cas de David et d’Elie (1 Sam 23, 1R 19),

-          lieu  de révélation du cœur de l’homme , cas des Israelites  dans le désert de Sin, des israélites à Tabeera, de Quoré et sa troupe, etc.. ( Ex 16, Nbres 11, Nbres 16),

-          lieu de combat, cas de Jésus dans le désert  (Mat.4 )

-          lieu d’accueil des dons de Dieu, cas de Moïse et le buisson ardent, Moïse et les dix commandements, etc.. (Ex 3, Ex 15, Ex 20)

 

Dans ce bel épisode d’Agar, le désert s’est révélé comme un lieu de Rencontre avec soi même et un lieu de rencontre avec Dieu. 

 

Désert, lieu de la rencontre avec soi- même :

Agar déchue, se retrouve seule  dans le désert seule et très démunie   - L’environnement lui-même impose  la  réflexion. L’ascension a été rapide et la faute  grande.  Mille questions sans réponses se succèdent dans ses pensées. Elle prend conscience de son erreur. Elle réalise que sa  responsabilité  est grande dans la destruction de son rêve.

Elle  a dû regretter en  ce moment d'avoir irrité Sara par ses provocations ! 

C’est en s’éloignant des bruits, du brouhaha du monde, c’est dans le désert intérieur et extérieur qu’Agar prend conscience de sa rébellion et de son péché.

 Chacun de nous a besoin de ce temps difficile pour prendre conscience de son péché. Cela ne veut pas dire que Dieu nous punit. Mais les conséquences  de nos propres actions nous ouvrent les yeux.  C’est à ce moment que  s’accomplit  la Parole qui dit : < Je t’attirerais dans le désert et parlerai à ton cœur > (Osé2,16)

 

 

Désert, lieu de la rencontre avec Dieu

Après la rencontre avec soi-même, l’évaluation  de la situation est faite. Vient ensuite  la rencontre avec Dieu qui est un processus de réhabilitation.

Rappelons-nous  du cas du  fils prodigue  qui ayant quitté la maison de son père, un jour dans son errance, sa conscience lui parle et le convainc de retourner dans la maison de son père –Il lui fallait prendre la décision de retourner dans la maison de son père et de s’humilier pour être réhabilité.

Comme pour le fils prodigue, dont la conscience l’obligeait à retourner dans la maison de son père, Dieu qui hait la désobéissance, la rébellion  et qui aime Agar,  lui ordonne   de  retourner dans la maison de son Maître. Dans ce processus de réhabilitation, Dieu lui donne une   condition : celle de retourner auprès de son Maître et de s’humilier.    

Le Dieu d’Israël interroge, il pose des questions et  appelle Agar à dire la vérité, à rentrer en elle-même  et à faire face à sa faiblesse. Dieu ne se contente pas de l’écouter, Il la console.

Remarquons que lorsque l’ange intervient, il parle  à Agar  sous ce termes : <….D’où viens-tu et où pars-tu …..? >

C’est un rappel à l’ordre  qui sous- entends : < tu fais une folie ! Arrête-toi là, tu cours un danger ! Ce que tu fais n’a pas de sens ! Reviens et humilie-toi auprès de ton Maître et tu seras bénie – toi et l’enfant que tu portes –Reviens sur tes pas, fais ton devoir envers ton Maître, mets de l’ordre et moi je vais faire ma part.>

Agar obéit,   rebrousse  chemin et retourne s’humilier auprès de l’épouse de son seigneur.

Dieu aime un cœur repentant – Il a pardonné à David  son meurtre car il s’est repentit mais a puni sévèrement Caïn et, le roi Akan,….qui ont  refusé de se repentir

Dieu se réjouit de la repentance d’Agar et manifeste sa présence – Il  n'est pas seulement auprès d'Abraham le juste, dans la chênaie de Mamré. Il est dans le désert de Beersheba, auprès d'Agar, l'esclave. 

Cependant pour lui reconnaître une certaine dignité, Dieu fait à Agar, une femme, la même promesse qu'à Abraham : celle d'une descendance nombreuse! Dieu prouve l’égalité de conditions de l’homme et de la femme et ceci malgré les lois de l’époque   qui infériorisaient les femmes.

 Il  est par ailleurs intéressant de constater que ce passage biblique est le premier où Dieu apparaît à une femme. C'est également l’un des rares textes bibliques où une femme donne un nom à Dieu (El- Roï: Dieu des visions) lors d'une expérience spirituelle.

 

La promesse de Dieu est IMPRESCRIPTIBLE

Dans les lignes qui précèdent nous avons relevé la rencontre de Dieu avec  Agar. Il   s’est  révélé personnellement à elle dans le désert. De sa figue, elle rapporte une belle histoire à raconter, histoire    qui ne doit pas  beaucoup plaire   à  la Maîtresse de la maison.

Agar, à qui Sara voulait donner  une belle leçon,  rentre par ‘la grande porte’ avec une promesse semblable à celle faite  à Abraham, le maître de la maison. 

Le désert qui était la fin d’un rêve devient le lieu de naissance d’un rêve grandiose, lieu de restauration pour cette jeune esclave.  

 

Jalousie, ennemi de l’accomplissement de la promesse

Isaac, fils de Sara et d’Abraham est né, l’enfant longtemps attendu est là. - Ismaël a grandi, il est  devenu  un jeune adolescent plein de vitalité – Abraham est heureux  d’avoir ces deux fils – 15 ans après la grande crise, la tempête devrait s’être calmée.

Mais là surgit un autre ‘ virus’, la jalousie et l’hostilité de Sara  qui craint que le fils d’Agar puisse briguer la place de son fils.

Un ‘cocktail’ de jalousie et  de crainte domine sur Sara ! Elle exige d’Abraham de chasser Ismaël et sa mère.

La mort dans l’âme, pour sauver  son  couple, Abraham fait un choix difficile, celui de répudier  son propre  fils. La Parole montre dans le chapitre 21 de Genèse qu’Abraham aimait Ismaël, il priait pour lui.

La jalousie et l’hostilité de Sara vont la conduire à vouloir contrecarrer la promesse de Dieu faite  à Agar en chassant vers le désert la jeune mère et son fils qui risquaient d’y perdre la vie. Mais la promesse de Dieu ne peut jamais être compromise quelles que soient les circonstances.

 

Les larmes aveuglent et le cri vers Dieu sauve

Dans l'immense étendue désertique et morne, qui donc entendra la voix d'une mère répudiée, appelant au secours pour son enfant ? Et si même une caravane  passait  dans le voisinage, qui donc aurait pitié d'une esclave, ignominieusement chassée ?

Agar lance un cri de désespoir dans le vide du désert. Cependant, il en est un qui a entendu le cri de la pauvre mère. Agar connaît le secret, elle sait que  Celui qu’elle a appelé ‘Ata El Roi’, le Dieu qui l’a vu , il y’a quinze ans, viendra à son secours.

Des hauteurs de son sanctuaire, du fond de sa gloire infinie, il a entendu la voix d'Ismaël mourant, Lui, le Dieu d'Israël, qui est aussi le Dieu de toute l'humanité. Il a apporté la solution, le secours.

Tout à l'heure ses larmes aveuglaient Agar, son cœur était trop désespéré : elle ne voyait rien. Dieu a entendu sa plainte, il a vu ses larmes. Il lui a ouvert les yeux. Il lui a rendu la clairvoyance pour voir la source d’eau, non loin, à ses pieds.

La source est toujours là, mais il faut la chercher. C'est l'œuvre de la prière. Livrés à nous-mêmes, nous défaillons, mais la source n'est pas loin. Nous en avons pour garant Celui qui a dit : « Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive », et qui, ayant dit cela, a désaltéré, de génération en génération, la soif des âmes, en leur donnant l'eau vive, celle qui calme l'inquiétude humaine.

 

L’amour de Dieu n’est pas exclusif

Dieu se soucie des cris des femmes abandonnées et  se solidarise avec des femmes exclues par la société peu importe leur statut matrimonial ou social. Il voit la douleur et  entend  le cri désespéré et il   apporte soutien, courage et espérance. Il a fait de Rahab, la prostitué,  de Léa, la mal aimée, de Ruth, la désespérée, des ancêtres de Jésus

Ce passage démontre le plan de Dieu pour nous les femmes .Le temps est venu pour les femmes chrétiennes de saisir pleinement la destinée que Dieu a prévue pour elles. 

 

 

L'APOTRE DE REVEIL L.G PENIEL

 

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