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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 16:05
142.JPG Quelques objections courantes.
L’utilisation de la dîme pour le soutien des responsables de l’Eglise est logique, biblique et pratique. A chaque fois que ce principe est respecté, il en résulte presque toujours une prospérité financière ainsi qu’une prospérité spirituelle. Pourtant ce principe fait face à quelques oppositions. Nous allons prendre un peu de temps pour analyser quelques-unes de ces objections:
Objection N° 1: « Tout ce que je possède appartient à Dieu. » Ce raisonnement paraît sensé, mais la personne qui parle de cette façon n’offre souvent même pas le dixième à Dieu. C’est un peu comme un homme qui dit à son épouse: « Tout ce que j’ai, appartient à ma femme. » Mais en réalité, il ne lui donne ni argent pour l’entretien courant, ni argent personnel. Son épouse pourrait bien lui poser la question suivante: « Si tout ce que tu as, m’appartient aussi, comment se fait-il que je n’en vois pas la couleur? »
Objection N° 2: « La dîme, c’est du légalisme de l’Ancien Testament. » Il y a deux réponses à cela. Premièrement, la pratique de la dîme n’a jamais commencé, ni ne s’est terminée, avec la loi de Moïse. Deuxièmement, la dîme pour un chrétien, n’est pas le résultat d’une série de règles légalistes. Mais elle est la conséquence de la grâce de Dieu qui travaille dans son cœur, et qui fait de lui quelqu’un qui « donne avec joie. »(Voir 2 Cor. 9:7).
Objection N° 3: « Je ne peux pas me permettre de donner la dîme. » Ma réponse à cela est: « Bien au contraire, tu ne peux pas te passer de donner la dîme! » A de nombreuses reprises la parole de Dieu promet des bénédictions abondantes à ceux qui donnent avec fidélité à Dieu. « Donnez, et l’on vous donnera: on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde… » (Luc 6:38). « Apportez à la maison du trésor toute la dîme…et vous verrez si je ne déverse pas pour vous la bénédiction, au-delà de toute mesure. Pour vous je menacerai celui qui dévore…et toutes les nations vous diront heureux… »(Mal. 3:10-12). Pourtant, Dieu demande toujours que nous fassions le premier pas par la foi, sans attendre que « nous puissions nous le permettre », mais simplement en étant confiant dans les promesses de Dieu.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 15:52
117.JPG Dans 1 Corinthiens 9:7 Paul utilise un choix de métaphores pour affirmer le même principe: « Qui donc sert jamais dans une armée à ses propres frais? Qui plante une vigne et n’en mange pas le fruit? Qui fait paître un troupeau et ne se nourrit pas du lait du troupeau? » « Servir dans une armée, » « planter une vigne, » et « paître un troupeau » sont trois métaphores différentes pour le ministère de la prédication, de l’enseignement et de la direction du peuple de Dieu. Chaque métaphore établit le principe que ceux qui apportent la Parole de Dieu doivent être soutenus financièrement par les bénéficiaires de ce ministère.
Un peu plus loin, dans 1 Corinthiens 9:13, Paul utilise l’exemple des prêtres Lévites pour appuyer son argument: « Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les fonctions sacrées sont nourris par le temple, que ceux qui servent à l’autel ont part à (ce qui est offert sur) l’autel? » (« Ceux qui remplissent les fonctions sacrées » et « ceux qui servent à l’autel » sont les prêtres Lévites.) A partir de cette référence des prêtres Lévites, Paul continue, et dans le verset suivant, il fait une analogie directe avec ceux qui annoncent l’Evangile: « De même aussi, le Seigneur a établi comme règle que ceux qui annoncent l’Evangile vivent de l’Evangile. »
Il est évidant que Paul utilise le modèle des prêtres Lévites de l’Ancien Testament pour nous servir d’exemple quant au soutien financier de ceux qui annoncent l’Evangile dans le Nouveau Testament. Nous avons déjà vu que les prêtres Lévites vivaient de la dîme qu’ils recevaient du peuple d’Israël. Il est facile et logique de déduire que les pasteurs devraient recevoir et vivre de la dîme de ceux dont ils prennent soin.
Nous avons aussi vu que les deux responsabilités les plus importantes des prêtres Lévites étaient d’enseigner le peuple et d’offrir des sacrifices pour eux. Sous la Nouvelle Alliance, ces responsabilités sont transférées aux conducteurs spirituels de l’Eglise. Dans Hébreux 13:7 l’auteur décrit les conducteurs comme « ceux qui vous ont annoncé la parole de Dieu… » Ceci est le ministère de l’enseignement. Dans Hébreux 13:17 (concernant ces conducteurs) l’auteur dit aussi: »…Car ils veillent au bien de vos âmes, dont ils devront rendre compte. » Ce ministère de « veiller » trouve son expression parfaite dans l’intercession. C’est ce même sacrifice que Jésus en tant que Souverain Sacrificateur offre pour nous tous dans le ciel. C’est l’équivalent spirituel des sacrifices que les prêtres Lévites offraient pour Israël. Comme les responsabilités des conducteurs de l’Eglise du Nouveau Testament correspondent à celles des prêtres Lévites de l’Ancien Testament, la logique voudrait que ces conducteurs vivent comme les prêtres, c’est à dire de la dîme du peuple de Dieu.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 17:10
014  Le Nouveau Testament ne nous dit pas qu’il y a un seul système qui gouverne les dons de tous les chrétiens. Il nous donne plutôt un certain nombre de règles de base, et nous laisse le libre arbitre pour adapter au mieux ces principes dans chaque situation donnée. Nous avons déjà noté le principe suivant: Par nos dîmes nous reconnaissons Jésus comme notre « souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek. « Voici quelques autres principes qui sont pertinents.
(1) Dans Romains 13:7 il est écrit que nous devons « rendre l’honneur à qui nous devons l’honneur ». Les dons, que ce soit de l’argent ou des produits sont un moyen qui est bon et biblique pour témoigner de l’honneur. Dans Marc 7:10-12, Jésus dit aux Pharisiens qu’ils étaient coupables et qu’ils ne respectaient pas le cinquième commandement: « Honore ton père et ta mère », s’ils ne pourvoyaient pas aux besoins matériels de leurs parents. Pourvoir aux besoins matériels et financiers d’une personne est donc un moyen biblique de l’honorer.
De la même manière, dans Actes 28:10, Luc dit que les habitants de Malte, après avoir reçu la guérison au travers du ministère de Paul, « leur ont rendu de grands honneurs et, à leur départ, ils leur ont fourni ce dont ils avaient besoin ». Les « honneurs » dont on parle dans ce texte sont des dons sous forme d’argent ou de biens.
Un des moyens d’honorer ceux qui exercent un ministère pour nous est donc d’être généreux avec eux. A l’inverse si nous ne donnons pas quand nous pouvons le faire, nous déshonorons les serviteurs de Dieu.
(2) Dans Actes 4:34-35 nous lisons que les croyants qui avaient vendu leurs terres et leurs maisons « apportaient le prix de ce qu’ils avaient vendu et le déposaient aux pieds des apôtres ». Ceci montre que les croyants mettaient leurs dons à la disposition de leurs chefs spirituels et qu’ils leur faisaient confiance quant au meilleur moyen de pourvoir aux besoins de tous. Ce qui est mentionné ici nous montre qu’au début les apôtres étaient responsables de la gérance de ces dons, mais que plus tard « alors que le nombre de disciples se multipliaient » la tâche devint trop lourde pour eux. Des diacres furent nommés pour cette tâche, tout en restant sous la conduite des apôtres. (Voir Actes 6:1-6).
Ceci établit le principe que les conducteurs spirituels d’une église sont aussi responsables de l’administration générale et financière de l’église.
(3) Dans 1 Timothée 5: 7 Paul dit: « Que les anciens qui président bien, soient jugés dignes d’un double honneur, surtout ceux qui prennent de la peine à la prédication et à l’enseignement. » Ceci est un autre passage où le mot « honneur » a une application financière. Et pour qu’il n’y ait pas de doute quant à cela Paul continue d’expliquer dans le verset suivant: « Car l’Ecriture dit: Tu n’emmuselleras pas le bœuf qui foule le grain, et l’ouvrier mérite son salaire. »
Ceci établit le principe que les anciens sont en droit d’attendre un soutien financier de la part de ceux qui bénéficient de leur ministère. Ce financement est déterminé par leur efficacité et il est proportionnel au temps consacré à l’enseignement de la Parole de Dieu. Un ancien qui consacre tout son temps à un tel ministère aura bien sûr besoin d’un support plus important que la personne qui n’y consacre que son temps libre.
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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 07:26
025 La dîme dans le Nouveau Testament 
Dans les chapitres 5-7 de l’épître aux Hébreux, l’auteur insiste sur le fait que Jésus est notre « souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek. » Mais avant cela, Jésus avait déjà établi cette identification, lors du dernier repas en offrant à ses disciples les mêmes symboles que Melchisédek avait offerts à Abraham.: le pain et le vin. Par cet acte, Jésus a montré que le sacerdoce de Melchisédek, interrompu sous la loi de Moïse, venait d’être restauré en lui. Conséquemment, par cet acte, la royauté et le sacerdoce se retrouvaient de nouveau unis en la personne de Jésus-Christ. (Voir Hébreux 6:20 et 7:3)
Etant donné que Jésus n’appartenait pas au sacerdoce des Lévites, il ne pouvait pas offrir les sacrifices que seuls les Lévites avaient le droit d’offrir. Pourtant en tant que sacrificateur, son ministère restait incomplet sans les sacrifices requis. L’auteur d’Hébreux nous décrit une succession de trois sacrifices que Jésus a offerts. Premièrement durant « les jours de sa chair » (durant son ministère terrestre), il « offrit à grands cris et avec larmes, des prières et des supplications » (Héb. 5:7).Deuxièmement, sur la croix, il « s’est offert lui-même sans tache à Dieu » (Héb. 9:14). Troisièmement, élevé à la droite de Dieu, il intercède maintenant sans cesse pour tous ceux qui viennent à Dieu par lui. (Héb. 7:25).
De plus, l’auteur d’Hébreux nous fait remarquer que le sacerdoce de Melchisédek est basé sur une vie sans fin, il est donc permanent et immuable. Ceci est vrai aussi pour le prélèvement des dîmes (voir Héb. 7:4-8, 24-25). Puisque nous sommes par la foi les enfants d’Abraham, sa relation avec Melchisédek son sacrificateur, nous sert donc de modèle quant à notre relation avec Jésus notre souverain sacrificateur. D’une part, Jésus nous offre le pain et le vin qui sont les symboles de son sacrifice sur la croix et de la nouvelle alliance, dans laquelle il nous fait ainsi entrer. D’autre part, nous, comme Abraham, nous lui offrons en retour la dîme de tous nos biens. Lui offrir nos dîmes, est le chemin biblique par lequel nous reconnaissons son sacerdoce.
Sous la loi de Moïse, le prélèvement de la dîme se faisait selon des règles bien précises. Dans le Nouveau Testament les règles sont remplacées par la grâce. Dans 2 Corinthiens Paul consacre tout le chapitre 8 et 9 aux principes qui gouvernent la générosité des chrétiens. Et le mot clé dans ces chapitres c’est « grâce », qui revient 7 fois dans le chapitre 8 et 2 fois dans le chapitre 9. Néanmoins, il est faux de supposer que la « grâce » requiert un niveau moins élevé que la loi. Dans Matthieu 23:23 Jésus recommande les scribes et les Pharisiens parce qu’ils payent la dîme. Mais dans Matthieu 5:20 il met en garde ses propres disciples en leur disant: « Si votre justice n’est pas supérieure à celle des scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » Dieu attend encore plus de ceux qui sont sous la grâce que de ceux qui sont sous la loi.
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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 09:46
015-copie-2 Dans Nombres 18: 26-28 le Seigneur dit encore aux Lévites: « Lorsque vous recevrez des Israélites la dîme que je vous donne de leur part comme votre héritage, vous en prélèverez une offrande pour l’Eternel, une dîme de la dîme … et vous donnerez au sacrificateur Aaron l’offrande que vous en aurez prélevée pour l’Eternel. « Ainsi, les Lévites, à leur tour, reconnaissaient Aaron comme leur grand sacrificateur, en lui donnant la dîme de la dîme qu’ils avaient reçue des autres Israélites.
D’autres instructions à propos de la dîme sous la loi mosaïque sont données dans Deutéronome 12:5-14; 14:22-29; 26:12-15. Une analyse en détail de toutes ces instructions dépasserait largement le champ de cet article. Il apparaît néanmoins qu’en plus de la dîme donnée régulièrement aux Lévites, une autre dîme était donnée tous les trois ans. Elle servait non seulement aux Lévites mais aussi à tous les pauvres et les nécessiteux. Il a été estimé d’une façon ou d’une autre, que l’Israélite moyen sous la loi, retournait à peu près vingt-cinq pour cent de son revenu à Dieu. Il y a un point sur lequel ces textes sont spécifiques: un Israélite ne pouvait pas donner sa dîme comme il l’entendait. Il lui était demandé de donner ces dîmes à un endroit et un moment précis, et à des gens que Dieu avait désignés.
Cette brève analyse de la dîme, permet de dégager deux points: Premièrement, la dîme était un moyen pour les croyants de reconnaître le sacrificateur qui était à leur service. Deuxièmement, ils donnaient directement leur dîme au sacrificateur. En plus, sous l’économie de la loi mosaïque, la richesse des sacrificateurs était en rapport direct avec celle du peuple. Plus les sacrificateurs excellaient dans la bénédiction et dans l’enseignement du peuple, plus le peuple prospérait. En retour, plus le peuple prospérait, plus important était le montant de la dîme donnée au sacrificateur.
Quand les Juifs sont revenus de Babylone, et après la réinstitution de l’adoration dans le temple, le procédé de la dîme recommença. Toutes les personnes s’engagèrent à apporter elles-mêmes leur dîme aux Lévites. Et les Lévites, à leur tour, apportaient la dîme de leur dîme dans le temple « dans les chambres de la maison de Dieu ». (Voir Néhémie 10: 37-38). Plus tard, le peuple renia son engagement. Privés de leur dîme, les Lévites désertèrent le temple, et retournèrent travailler dans leurs propres champs pour subvenir à leurs besoins. La conséquence de cela, c’est que la maison de Dieu était restée vide et que les services avaient été abandonnés. (voir Néhémie 13: 10-11)
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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 20:33
1 jour seminaire 3  La dîme dans l’Ancien Testament.
Beaucoup de chrétiens pensent que la pratique de la dîme a commencé sous la loi de Moïse, mais ceci n’est pas le cas. Abraham donnait déjà la dîme à Melchisédek plus de quatre cents ans avant la loi de Moïse. Deux générations plus tard, on est encore loin de la loi, Jacob promit de donner à Dieu un dixième de tout ce que Dieu lui donnerait. (Gen.: 28:22) Il n’est donc pas insensé de conclure que les patriarches donnaient régulièrement la dîme.
Pour Abraham, donner la dîme n’était pas le résultat d’une loi qui lui avait été imposée, mais plutôt une libre expression de sa foi. Dans Romains 4: 11-12, il nous est dit que nous pouvons être appelés enfants d’Abraham, si nous « marchons sur les traces de la foi de notre père Abraham quand il était incirconcis ». (c’est-à-dire au moment où Melchisédek l’a rencontré). Donner la dîme est un « des pas de foi » dans lequel nous sommes encouragés à suivre Abraham.
En temps voulu, sous la loi de Moïse, un sacerdoce inférieur a été instauré. Il avait un lien avec Lévi plutôt qu’avec Melchisédek. La royauté et le sacerdoce se retrouvaient en la même personne de Melchisédek. Mais il n’en sera plus ainsi sous la loi. Le sacerdoce sera donné à la tribu de Lévi, et la royauté sera donnée, pendant un court temps, à la tribu de Benjamin, puis de façon permanente à la tribu de Juda. Durant cette période, aucune personne n’avait le droit de cumuler la royauté et le sacerdoce.
Melchisédek, avait d’abord donné du pain et du vin à Abraham. Mais les prêtres de la tribu de Lévi n’avaient rien à offrir aux gens si ce n’est une portion de ce qu’ils avaient déjà reçu du peuple. Néanmoins, le rapport direct entre le sacerdoce et la dîme restait le même. Dans Nombres 18: 21, le Seigneur dit à Moïse: « Je donne comme héritage aux fils de Lévi toute dîme en Israël, en échange du service qu’ils font, le service de la tente de Rencontre. » Le « service » mentionné ici est celui du sacerdoce. Les Israélites reconnaissaient donc les Lévites comme leurs prêtres en leur donnant la dîme.


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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 15:10
025.JPG  En plus du sacrifice pour le péché, le sacrificateur peut offrir des dons qui expriment la gratitude et l’adoration de ceux qui ont été acceptés de Dieu par leur sacrifice. Les sacrifices sont prédéterminés à l’avance, dans leur nature et dans leur forme et ceci par ordonnance divine; le choix des dons, par contre, est laissé à l’initiative de chaque adorateur.
La deuxième importante responsabilité du sacrificateur est énoncée dans Malachie 2: 7 « Car les lèvres du sacrificateur gardent la connaissance, et c’est à sa bouche qu’on demande la loi, parce qu’il est un messager de l’Eternel des armées. « Le sacrificateur est le messager de Dieu pour son peuple, qualifié pour lui transmettre la connaissance des lois de Dieu. Il lui est surtout demandé d’enseigner la différence entre ce qui est « pur » et « impur », entre ce qui est acceptable à Dieu et ce qui ne l’est pas. (Voir dans Lévitique 10: 10 11.) Dans Osée 4: 6 Dieu avertit l’homme qui ne remplit plus ces fonctions, et qui n’est plus qualifié pour être prêtre. « Puisque tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai de mon sacerdoce. »
La dîme: Le mot « dîme » est directement lié au mot « dixième ». Donner la dîme, c’est la pratique de consacrer régulièrement à Dieu les dix premiers pour-cent de notre revenu. Que ce soit sous forme d’argent de produit ou tout autre forme. En plus de la dîme, la parole de Dieu fait référence à deux autres manières de donner: les offrandes et l’aumône. La dîme est une proportion fixe de notre revenu sur laquelle Dieu a un droit particulier. Les offrandes sont ce que nous donnons à Dieu au-delà de la dîme, et le montant est en général laissé à la discrétion de chaque adorateur. Les aumônes, c’est ce que nous donnons pour pourvoir aux besoins de notre prochain.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 18:14
011  Une recherche biblique sur la dîme.
Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était sacrificateur du Dieu Très-Haut. Il bénit Abram et dit: Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, Maître du ciel et de la terre! Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré les adversaires entre tes mains! Et Abram lui donna la dîme de tout.(Gen. 14: 18-20)
Abram vient de combattre avec succès les quatre rois qui avaient battu Sodome et Gomorrhe et qui avaient tenu les habitants en captivité. Abram, qui plus tard sera appelé Abraham, fait la rencontre de Melchisédek. Ce dernier est à la fois roi de Salem et sacrificateur du Dieu Très-Haut. En tant que sacrificateur, Melchisédek offre à Abraham du pain et du vin. Ces deux éléments réapparaîtront plus tard dans l’ordonnance la plus sacrée de la foi chrétienne: La Sainte Cène. En retour, Abraham donne à Melchisédek, le sacrificateur, la dîme de tout le butin qu’il a ramassé pendant la bataille.
Dans ce passage, nous découvrons pour la première fois deux concepts spirituels importants: le sacerdoce et la dîme. Très souvent, quand un mot apparaît pour la première fois dans la Bible, il contient la semence d’une vérité qui sera davantage développée par la suite. Si nous regardons ces deux concepts du sacerdoce et de la dîme dans la Bible, nous découvrons qu’au fil des écritures ils restent intimement liés. Nous allons résumer la vérité contenue dans chacun de ces concepts:
Le sacerdoce: La principale responsabilité du sacrificateur est décrite dans Hébreux 5: 1 « ….afin de présenter des offrandes et des sacrifices pour les péchés… »En offrant des sacrifices pour les péchés, le sacrificateur obtient l’acception et l’accès direct à Dieu pour ceux qu’il sert. (Qui ne peuvent être obtenus d’aucune autre façon)

 

APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 21:01
061   Or, sans la foi il est impossible de LUI être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de DIEU croie que DIEU existe, et qu'IL EST LE RÉMUNÉRATEUR de ceux qui LE cherchent, Hébreux 11:6.
Il y a une rémunération pour toute personne qui cherche LE DIEU TRÈS-HAUT. C'est la Bénédiction de L'ÉTERNEL qui enrichit et qui n'est suivie d'aucun chagrin, promet Proverbes 10:22. Cette rétribution Divine s'étend sur tous les domaines de la vie :
Spirituel : La communion avec LE PÈRE et LE FILS.
Familial : Une vie paisible en famille.
Sanitaire : La guérison de toute maladie.
Matériel : Les besoins sont pourvus.
Professionnel : Une émancipation sociale.
Etc.
Raison pour laquelle, la foule qui suivait LE CHRIST était guérie de toutes ses maladies, libérée des chaînes, nourrie par multiplication des pains et des poissons... Cette Rémunération du SEIGNEUR ne s'arrête pas sur terre, mais elle se poursuit jusqu'à la vie éternelle, déclare BON BERGER dans Matthieu 19:29. 
Il est écrit dans Ésaïe 49:4 : Et moi, j'ai dit : "C'est en vain que j'ai travaillé, c'est pour le vide et le néant que j'ai consumé ma force ; Mon droit est auprès de L'ÉTERNEL, et ma récompense est auprès de Mon DIEU". C'est pourquoi, ne vous inquiétez donc pas de votre salaire, Votre RÉNUMÉRATEUR EST LE DIEU FIDÈLE qui se souvient de vos bienfaits pour la Gloire de Son SAINT NOM. 
Cherchez-vous le bonheur parfait ? 
Il ne se trouve qu'auprès du SEIGNEUR JÉSUS qui nous a aimés au point de donner SA VIE sur la croix pour notre bien-être. Donnez-LUI votre vie et suivez Ses Recommandations pour bénéficier de Sa Paix ainsi que de la joie de vivre qu'IL vous donnera. Car DIEU EST NOTRE RÉMUNÉRATEUR !
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:13

027

Car quiconque invoquera LE NOM DU SEIGNEUR sera sauvé, Romains 10:13.
Cette promesse est tirée de l’Épître de Paul aux Romains. Paul, anciennement appelé Saul, était Israélite de la tribu de Benjamin, certifie Romains 11:1. Ensuite, il est devenu l’Apôtre Paul après sa rencontre avec LE SEIGNEUR JÉSUS, à qui il ne croyait pas, et dont il persécutait les disciples. 
Dans ce verset LE SEIGNEUR nous enseigne la voie à suivre pour être sauvé ; car beaucoup de personnes se posent la question de savoir : 
Qui peut me libérer du péché, de la maladie, de la stérilité, de la pauvreté et d'autres causes de soucis ? 
Face à toutes ces situations qui rendent malheureux, il est nécessaire d'invoquer LE SEIGNEUR qui sauve. 
LE SEIGNEUR JÉSUS Notre SEUL SAUVEUR a le pouvoir d’ôter ces fardeaux, et rendre réellement libre celui qui croit. Comme IL le déclare dans Jean 8:36, en disant : 
Si donc Le FILS vous affranchit, vous serez réellement libres. 
En effet, CHRIST brise les chaînes qui maintiennent captifs des hommes et des femmes, pour lesquels IL a donné SA VIE sur la croix, afin qu’ils aient la vie éternelle et qu’ils soient dans l’abondance. 
Le Bonheur que DIEU donne s’étend à tous les domaines de la vie, qui sont : spirituel, matériel, social, sanitaire, conjugal, professionnel... 
Face à la difficulté de trouver la paix du cœur, la joie de vivre, dans un monde dominé par le mal et caractérisé par la haine, l’égoïsme, les divisions ; il devient impératif de se confier dans LE DIEU TOUT-PUISSANT. Car la société, l'état ou la famille sur lesquels l’on pourrait compter ne sont pas capables de résoudre les problèmes fondamentaux de l’homme. 
Invoquer LE NOM DU SEIGNEUR pour être sauvé est l'unique solution ; car rien n'est impossible à DIEU, déclare Luc 1:37. Lorsqu'un combat se présente, le premier réflexe devra être de prier au NOM DE JÉSUS. Et LE DIEU DES CIEUX qui change les temps et les circonstances, atteste Daniel 2:21, te délivrera si tu L’aimes, selon Psaume 91:14. C'est pourquoi, louez L’ÉTERNEL car IL EST BON, car Sa Miséricorde dure à toujours, recommande Psaume 107:1. En effet, DIEU EST pour nous Un Refuge et Un Appui, Un Secours qui ne manque jamais dans la détresse, dit Psaume 46:2. 
Bien-aimé(e), crois en JÉSUS-CHRIST Notre SEIGNEUR qui t’aime pour te sauver. Alors, tu deviendras plus que vainqueur par CELUI qui t'a aimé, révèle Romains 8:37.
APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL
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